Week-end dernier.
Retour de la fête des lumières.
13h, devant la caisse : on achète nos forfaits. Forfaits pour la liberté, le soleil, être enfin blanchis. Blanchis de poudreuse, de la fraiche, qui vient de tomber, et en abondance.

On prend le télésiège, et, premier réflexe : on scrute les zones en hors piste où il y aurait quelques gap à se taper. On en repère quelques-uns. On saute de nos sièges, on se donne une idée orale de ce qu’on va faire.
Go !

1 minute 48 secondes après, on est en hors piste.

On y va cool, mais on cherche à se faire plaisir. De la poudre qui remonte jusqu’aux genoux dans des virages un peu serrés. On se prend quelques boites, rien de bien méchant heureusement.

Au bout d’un moment je commence à ressentir la fatigue, n’avoir pas dormis la veille n’arrange pas les choses. Mais je tiens bon, jusqu’au moment où je croise et que je me tape une bonne grosse vautre, j’ai mal à un genou, je vérifie que je peux le bouger encore. Ca à l’air d’aller, je remonte sur mes skis, je fais quelques virages, tout est OK, mais j’arrête là pour la journée.
Trop de fatigue, plus assez de force, si je continue, je vais vraiment me faire mal. On laisse Jojo faire une dernière descente, niKo aussi ressent les effets de la soirée à Lyon.

Dimanche.
Ce dimanche.
Une personne a eu moins de chance. Epaule cassée. Désolé pour ta saison Steph. Bon rétablissement.

PS : pour les photos, c’est par là : Sortie de ski au Margériaz

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7 commentaires sur “Ski, reprise et fractures

  1. Hum… les conseils genre faut se mettre en jambes, ça va, on connait…
    Je suis pas sur d’en avoir vraiment vraiment besoin, et mes potes non plus, je suis le moins sportif des 3 et je pense que ce que je pratique est déjà pas mal… ;)

    Je pensais que c’était des conseils sur le hors piste moi ce lien !

  2. Bonjour, Journaliste à la rédaction internet de TF1, LCI, je prépare un sujet sur le ski hors piste. Depuis le début de l’année, deux personnes ont été tuées après une avalanche alors qu’elles pratiquaient le hors piste. Et ce malgré les avertissements. J’aimerais essayer de comprendre ce qui pousse les passionnés comme vous sur les sentiers non balisés… L’occasion aussi de rappeler les précautions d’usage. Seriez-vous d’accord pour une petite interview par téléphone ? A défaut, pourriez-vous m’indiquer quelqu’un qui serait susceptible de le faire ? Par avance, un grand merci ! Cordialement, Amélie GAUTIER agautier@lci.fr

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