La réputation flatteuse des géants de la high-tech en matière de ressources humaines est en partie usurpée.
Les start-ups de l’économie numérique entretiennent leur réputation d’être des paradis pour leurs employés: nourriture gratuite de qualité, espaces de sieste ou de jeu, cours de yoga, services de garderie ou de conciergerie ou vacances illimitées, etc.

Ahah, les gars, faut se réveiller hein. Une startup, c’est avant tout une boite qui se lance et qui n’a pas de moyen.
Ensuite elle fait une levée de fond pour arriver à payer ses salariés sans avoir rien à vendre (pour le moment).

Le coup des conditions de travail à la google, facebook, etc… C’est sympa, ça fait rêver, mais est-ce qu’on parle encore de startup ?

La startup (ou jeune pousse) est une jeune entreprise à fort potentiel de croissance et qui fait la plupart du temps l’objet de levée de fonds.

Définition : Wikipedia

Est-ce que google & facebook sont des jeunes pousses ? Est-ce que 10 ans, c’est encore jeune pour une entreprise ?

Ensuite, sans déconner, combien y-a-t-il de startup qui font des levées de fond assez importantes pour être blindées de thunes et pouvoir proposer un chef étoilé le midi, une garderie pour les mômes et tout le reste ?
1% ? 10 % ?

Non, une startup, c’est avant tout des gens qui croient en leur projet et qui vont s’investir à 100%, sans compter leur temps, à courir de partout et à essayer de se développer le plus rapidement possible parce qu’il faut bouffer.

La réputation qu’elles entretiennent est une vision à la Disney Land.

Source : Non, travailler dans une start-up n’est pas toujours le paradis | Slate.fr

2 commentaires sur “Non, travailler dans une start-up n’est pas toujours le paradis

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