Voilà ce que j’ai reçu dans ma boite aux lettres ce matin :

Truie

Si la personne qui m’a envoyé ce mot est une fille, elle n’a qu’à passer me voir, je la ferai crier elle aussi, y’a pas de soucis.

Si la personne qui m’a envoyé ce mot est un mec, il n’a qu’à m’envoyer sa copine, je lui monterai comment on fait.

Les gens sont d’un jaloux…

Dimanche dernier, Nicolas Sarkozy était élu à 53% du suffrage. Le nouveau gourvernement n’est pas encore en place que de nouveaux services en ligne sont proposé par le ministère de l’intérieur : delation-gouv.fr.

Grace à ce site, les délateurs en herbes vont pouvoir exercer leur passion à fond : un voisin un peu trop bruyant ? Un collègue de travail un peu trop ambicieux ? Un patron trop radin ? Si vous avez des informations sur eux, grâce au formulaire fournit par le site, vous pourrez les dennoncer en toute impunité.

Le service plutot bien fait propose une saisie simplifié à l’aide de case à cocher avec des suggestions de délits (A des gènes de gauchiste, Est bronzé toute l’année, etc…).
Vous avez aussi la possibilité d’entrer du texte libre si jamais la personne visée ne rentre pas dans une des 17 infractions de base.

heureusement, vous ne ferez pas ça pour rien, en effet, si votre dénonciation abouti à une peine de prison ou à une amende, vous pourrez contacter votre centre local des impôts afin d’obtenir un crédit d’impôts équivalent à 10% du montant de l’amende.
Ce qui n’est pas rien et qui fait toujours plaisir.

Bien sur, vous l’aurez surement remarqué, il ne s’agit que d’une blague (pour l’instant).

Toujours dans l’esprit de faire évoluer les Chambé-Carnets, et comme l’avait si bien intitulé Frédéric de Villamil : Les chambé carnets évoluent et se professionnalisent, nous avons donc eu l’idée de lancer un Job Board pour la Savoie et la Haute-Savoie qui regrouperait toutes les annonces gravitant autour du web et de l’internet.

Il y a déjà deux annonces dans ce Job Board :

  • Kolor recherche un développeur web
  • LogDirect recherche des ingénieurs commerciaux

L’inscription sur Chambé-Carnet est totalement gratuite, si vous avez des offres, vous pouvez les publier librement sur ce Job Board.

Depuis quelques temps déjà (et bien avant les grand blogueurs français) j’utilise twitter.

J’en ai déjà parlé ici, j’aime bien le concept, ça ne sert pas à grand chose, mais ça permet aux proches d’être toujours au courant de notre activité.

Du coup, j’ai regardé comment faire afficher simplement un widget dans la barre de droite, et sous dotclear 2, c’est super simple, il y a un widget qui permet de saisir du texte, et tout bêtement, il interprête le HTML…

Si vous voulez suivre mes super journées passionantes, abonnez vous à mon flux rss.

C’est la nouvelle question qui taraude la blogosphère en ce moment : Faut-il (pour mieux glander au bureau) utiliser Twitter ou Jaiku ?

Un point commun entre les deux, ils servent à la même chose : rien. Enfin, si, ce sont tous deux, des outils de micro-bloggin.

Petite comparaison des deux outils :

Interface :

Jaiku est largement mieux designé que Twitter, y’a pas photo. A croire en fait qu’il n’y a pas de graphiste qui bosse chez Twitter.
L’interface de Jaiku est plus ergonomique, mieux intégré, avec la petit touch web2.0

Publication :

Twitter offre plusieurs possibilité de publication : IM (avec gTalk, jabber…), par téléphone et des applications tierces (twitteroo), et même un mashup avec google-maps : twittervision.
Du côté de Jaiku : rien, pour le moment, mis à part par téléphone (sms), mais ça ne saurait tarder, au moins pour la publication via IM. (C’est le minimum en tout cas)

Communauté :

Dans les deux, on peut avoir une liste d’amis, avec leurs messages qui s’affichent et tout, ok, c’est sympa, on sait quand son pote va faire caca, c’est le plus important.

Widget :

Twitter et Jaiku proposent une liste de widgets à intégrer sur son blog, sa page perso, son mySpace, etc…
Je préfère quand même les widgets de Twitter, ils sont plus jolis, et Twitter en a un que Jaiku n’a pas : celui qui affiche les messages de sa liste d’amis. (si Jaiku pouvait faire de même, et en ajoutant aussi ses propres messages, ça serait top)

Autre :

Jaiku permet d’ajouter des flux RSS, ce qui est pas mal, car comme le dit Ouriel Ohayon, on peut mettre à jour à la fois son Twitter depuis son IM et mettre à jour son Jaiku via le flux RSS de Twitter ;)
On peut ajouter aussi ses images flikr, bookmarks, musique, vidéos, etc…
Twitter quand à lui est assez limité, il ne propose rien de plus que de poster des messages, mais par contre, il a une API, un régal pour les développeurs…

Bref, pour l’instant, je continue d’utiliser Twitter, j’ai couplé Jaiku avec mon Twitter, et on verra bien ce que ça va donner.
Ce qui serait pas mal pour Twitter c’est de faire une levée de fond afin d’acheter des serveurs, histroire que ça ne rame pas tout le temps…

Bonne chance à Jaiku, que je trouve nettement plus joli en tout cas !

Un nouveau mashup pour twitter, assez sympatique : une carte google maps, et les messages twitters sont affiché en fonction de la localisation des personnes.

Plutôt bien fait, il faut etre logué sur twittervision pour poster ses messages, et apparement on ne vois pas ses propres messages s’afficher, un peu dommage, ça perd en coté fun…

En tout cas, c’est très prenant, je viens de passer 1/4h à matter des messages s’afficher…

Il y a du nouveau en Savoie : La nouvelle version des Chambé-Carnet est en route.

Déjà, on commence avec un nouveau nom de domaine, un nouveau blog qui tourne sous wordpress, histoire de changer un peu, et un réseau social en mode alpha (c’est encore trop tôt pour la beta).

J’en ai déjà parlé sur le blog officiel de Chambé-Carnet et Frédéric en a parlé aussi sur son blog : les Chambé-Carnets sont en train d’évoluer, de se "professionaliser", je veux en faire l’évènement mensuel incontournable pour tous les acteurs du web, entrepreneurs, investisseurs, journalistes, bloggueurs, etc… Je veux créer un lieu de rendez-vous où chacun pourra se retrouver et partager ses projets, idées, chercher des solutions ou simplement discuter autour d’un verre.

Donc que du bon, ça bouge, et on ne va pas s’arreter là.

Ouais, je sais, ça fait longtemps que ça existe, patati, patata… Mais rien a battre, ça fait aussi longtemps que je connais, mais j’ai envie d’en parler maintenant, peut être parce que je suis assez sensible en ce moment, peut être parce que ça me touche, en tout cas, j’avais envie de partager ça avec vous : free hugs campaign.

La vidéo est très émouvante, la musique plutôt sympa, j’en ai les larmes aux yeux à chaque fois que je la matte, l’histoire de cette personne est très belle, bref… Que du bon.

Par contre, je me vois mal faire ça place st Léger à Chambéry… Enfin, quoique…

Et j’espère que ça va tenir un moment cette fois !

J’ai remis mon serveur en état de marche : un petit soucis de carte réseau…
Bref, mon site perso, mon blog, le blog de chambé-carnet et tout le reste sont à nouveaux en ligne, et tout le monde s’en félicite. Surtout Pascal qui commençait à râler que chambé-carnet n’était pas up and running…

J’avais tout préparé pour que ça se passe bien hier soir : le ménage fait de fond en comble, le menu pour le repas préparé a l’avance, j’avais déjà tout calculé les temps de cuisson pour que ce soit organisé au milimètre, et la bouteille de vin blanc était au frais.

Louisa devait arriver vers 18h30, mais je comptais plutôt sur un 19h. Comme d’hab j’avais bien vu, elle est arrivée à 19h05 avec l’odeur du fondant au chocolat en pleine cuisson.

Je l’invite à s’asseoir sur le canapé, on discute un peu, c’est assez tendu.
Je commence à faire à manger : un poulet sauce au miel et vinaigre balsamique. Le repas se déroule bien, le miam est très bon, le vin aide à détendre l’atmosphère. Je lui propose de s’installer dans le canap’ en attendant de digérer un peu pour manger le dessert.

On discute quelques minutes et elle m’embrasse fougueusement, du gros roulage de galoche comme ça faisait longtemps que j’en avais pas eu. Du coup, je prend mes aises et je lui retire son pull, elle ne dit pas non et se laisse faire. On se fait encore des bisous un peu partout dans le cou et je lui dit que si ca continue comme ça, je ne vais pas la laisser repartir.

Comme d’hab faut toujours que j’ouvre ma gueule, à partir de là, plus rien n’a été. On a commencé à discuter et j’ai du chialer comme une madelène pendant 2h d’affilé sans pouvoir m’arreter.
Entre les "je veux tourner la page, mais j’y arrive pas", les "ce week-end j’ai vu des bébé, ca m’a donné envie d’en faire avec toi", les "si j’étais avec un autre, tu voudrais que je te le dise ?" et les "ce week-end, j’ai fallit tout plaquer et revenir avec toi, mais ne me demande pas pourquoi".
Oui, alors justement. Pourquoi ? Mais pourquoi bordel ? Et pourquoi tu ne l’as pas fait ?

Voilà, je suis toujours aussi naif, toujours aussi con, toujours aussi gentil.
Je pensais qu’une petite bouffe réussirait à la faire revenir, quel crétin j’ai été d’avoir espéré ça. Au lieu de ça, j’étais comme une éponge qu’on tordait et qui coulait à n’en plus finir.
Qui voudrait d’un mec comme ça qui chiale dès que quelque chose ne va pas dans sa vie ? Je me dégoute, j’aurais voulu être fort, jouer le mec qui assure et que rien ne touche, le genre de gars avec le sourire colgate bright, qui arrive a rassurer la fille dans toutes les situations. Au lieu de ça, j’ai complètement craqué et j’ai utilisé un bon paquet de mouchoir à pleurnicher et à moucher du nez.

Il va falloir que je me fasse une raison, elle ne reviendra pas. La dernière fois qu’une fille m’a dit : "si j’étais avec un autre, tu voudrais que je te le dise ?", c’est effectivement parce qu’elle était avec un autre. Ca ne laisse rien présager de bon.
Je crois que je vais en avoir pour un moment…

Petite rando vendredi.

On a posé un RTT pour profité du beau temps.
Départ de la Plagne (après le col du granier) avec les skis sur le sac à dos, direction le col de l’alpette. 50 minutes après on arrive au col et on chausse les skis de fond pour une petite rando jusqu’à la croix de l’alp.

Le ski de fond en randonnée c’est bien sympa, pas de traces, il faut faire la sienne, repérer les dangers du relief et bien poser le ski pour ne pas reculer.
Une fois en haut, le meilleur arrive : la descente. Y’a pas de carres sur les skis de fond, et le talon n’est pas attaché non plus. Donc pas moyen de faire des virages comme en ski alpin.
Du coup, il faut aller tout droit et prier de temps en temps pour que ça passe. Résultat : on s’est mis de bonnes boites, c’était bien drôle.

En tout cas, grand beau temps, bien chaud, de la bonne neige (pas toujours…), bien bronzé.
Une excellente idée d’avoir fait ce petit trip.

Rando en ski de fond à l'alpette
Voir les photos.

C’est ce que je me demande, et je pense que c’est la question qu’elle se pose aussi, enfin, je suis pas dans sa tête, je ne peux pas savoir.

Mardi, elle m’envoie un sms pour me dire qu’elle veut parler à propos de l’appartement.
Le soir on en discute, elle me dit qu’elle compte prendre un studio qui se libère début mars dans la résidence. Je lui dit que je ne compte pas quitter l’appartement, mais que je vais prendre une collègue de travail en colloc.
Je lui fait rapidement remarquer qu’elle porte toujours la bague de fiançailles que je lui ai offert à Florence. Elle me répond qu’elle sait très bien ce qu’elle représente, mais qu’elle ne veut pas l’enlever.

Jeudi, re-sms :

  • "Je passe ce soir, je dois te parler"
  • "à propos de quoi ?"
  • "de cette histoire de colloc là"

"Je vais faire ma chieuse, mais je ne veux pas que tu fasse de la colloc avec cette p*te, je suis désolée, mais je ne suis pas d’accord"
En résumé, le discours qu’elle m’a tenu pendant 1/4h. Elle est toujours autant jalouse, et ça me plait toujours autant. Ce à quoi je lui ai répondu qu’elle était partie et qu’elle n’avait plus à se mêler de ces histoires. Je veux garder l’appart, et pour le garder, il me faut une colloc.

J’aimerai bien savoir où elle en est…

Frédéric nous propose encore une fois (ça en devient lassant) un bon article sur son blog : comment entretenir son réseau relationnel.

Ce qu’il explique reflète completement ce que j’essaie de mettre en place depuis 2 ans avec les Chambé-Carnet : des réunions de personnes voulant échanger, rencontrer, partager.

Les Chambé-Carnet, parce qu’il n’y a pas qu’à Paris que ca se passe. Ce que j’aime lors de ces soirées très conviviales où de simples employés rencontrent des dirigeants, c’est quand des cartes de visites s’échangent, que des projets sont dévoilés, ou que des idées prennent forment grâce à la rencontre de deux personnes.

Les Chambé-Carnet sont très importants pour le bassin Chambérien, et même autour. Mais ce n’est pas assez suffisant encore.
C’est pour ça que j’ai dans mes cartons un barCamp en préparation pour très bientôt : barCampSavoie.

Je sais que vous allez être interessés, n’hésitez pas à me contacter.

Après avoir dormi dans le bureau pendant 2 nuits de suite. Après avoir passé cette nuit dans le lit avec elle. Après avoir discuté hier soir avec elle, je me suis rendu compte qu’elle ne me plaque pas parce qu’elle a peur de ne plus jamais me revoir. Elle ne supporte pas l’idée de rayer 3 ans d’un trait.

Pourtant c’est ce que je vais faire (ou du moins tenter), je vais retourner vivre chez mes parents. D’après Louisa, un studio se libère en Mars dans la résidence où l’on est. Elle comptait le prendre pour elle, afin que l’on puisse se voir. Je ne pense pas que je vais supporter cette vie. Voir la femme de ma vie tout en sachant que je n’ai plus d’avenir avec elle. Je préfère partir et ne plus jamais la revoir.

3 ans, ça peut paraitre long, mais pourtant, c’est extrêmement court. On commençait juste à construire quelque chose : un appart, un chat, un couple. On ne retournera plus à la maniguette ensemble, on n’ira plus au ski en amoureux, nous ne seront jamais allé à Pralognan la Vanoise faire du ski, nous ne feront pas le tour de la Vanoise en rando.

Je voulais avoir des enfants avec elle, je l’aime de tout mon coeur, mais je ne peux pas continuer à vivre comme ça, dans le bureau, à la croiser tous les jours. Je souffre trop.

Adieu Louisa.

"Je ne supporte plus la vie de couple" m’a-t-elle dit hier soir, "je ne me sens pas libre, je voudrais faire ma petite vie".

Après 6 mois de vie en couple, la routine aura eu raison de nous. Enfin, surtout d’elle.

Elle voudrait prendre du recul, faire le point. "Je t’aime toujours" me glisse-t-elle entre un "j’avais prévu de partir" et un "mais je ne peux pas m’y résoudre".

Au début, je m’étais résigné à la laisser partir, après tout, je ne veux que son bonheur, et si elle n’est plus heureuse avec moi, il faut qu’elle parte. Pourtant, laisser partir la femme de ma vie est une chose assez dure à accepter. Mon égoïsme a repris le dessus quand je lui ai pleuré que je ne voulais pas la perdre.

De son côté ses copines y vont de leurs conseils d’expertes : "Quitte le, c’est un vrai con. Tu n’as que 21 ans, il faut que tu profite de la vie". Le genre de conseil qu’on peut trouver pour 50cents dans une machine à lire les lignes de la main qui trainent dans les stations essences au bord des autoroutes. Le genre de conseil que tout le monde donne mais que jamais personne n’applique, car lorsqu’on est impliqué, ce n’est jamais aussi simple que ça.

De mon côté, je n’ai que moi pour me défendre, et avec un score de 100% plaqué par mes ex, je suis un bien piêtre avocat en ma faveur…