J’avais récupéré il y a pas mal de temps déjà un switch KVM Belkin, je savais pas trop quoi en faire, je l’avais mis en vente sur price minister, mais personne n’en voulait.

Et puis, hier j’ai téléchargé la version d’évaluation de Lightroom, un logiciel de traitement de photo, basé sur photoshop.

Bien entendu, je fais tourner ça sur mon MacBook, et comme tout le monde le sait, l’écran des MacBook, ça pue un peu.

Du coup, j’ai ressortimon switch KVM, et quelques branchement plus tard, j’ai du bi-écran sur mon MacBook, tout en gardant mon PC de bureau allumé sur le même écran.
Ce qui fait que je vais pouvoir utiliser Lightroom, et faire de la photo avec un écran digne de ce nom.

Vivement, la formation à Lightroom 2.0

Vous n’avez sûrement rien remarqué, mais j’ai changé d’hébergement.

Depuis que je blog, soit depuis 2005, j’hébergeais tous mes sites web sur un serveur homemade, planqué dans mon ancienne chambre chez mes parents.
Les coupures d’électricité, d’internet et les débranchages intempestifs du câble réseau de la part de mon frère auront eu raison de ma patience. (Je soupçonne mes parents d’avoir ourdi un complot contre moi).

J’ai donc migré tous mes sites sur un hébergement plus stable et moins sujet à des coupures (à la con). J’avais l’espace depuis, pfiou… au moins 4 ou 5 mois, mais j’avais un peu la flemme.
Finalement ça m’a pris comme une envie de pisser (ou de chier, au choix) et j’ai fait ça pendant le week-end.

On remerciera Olivier Bonhomme qui m’héberge sur son serveur. C’est lui que je réveillerai à 3h du mat’ quand vous viendrez pleurer que mon blog est inaccessible.

Je trouve que mon blog est plus rapide, non ?

Je viens tout juste de passer mes blogs à la dernière version en date.

Aucun soucis apparemment, pas d’énormes modifications non plus, mais de petites choses en plus qui sont bien sympa.

Je ne voulais pas passer sur la RC1 de suite, mais un bug ayant apparu sur la gestion des tags, j’ai avancé la date de mise à jour pour voir si le bug était résolu.
Heureusement, il l’était.
Coup de bol pour moi.

Si vous rencontrez des dysfonctionnements, prévenez moi !
Je reviendrai plus tard sur les changements apportés par cette RC1.

Finalement, on aura cédé à la tentation.

On l’importe des Vosges, un des rares départements en France (avec le Limousin) à ne pas être en rupture de stock.

Lundi on aura Mario Kart avec le volant.

Le SqueezeCenter, c’est le serveur (coté logiciel, pas hardware) de musique pour la squeezebox.

Au début, je voulais l’installer sur un NSLU2, mais pas de chances, après flashage, installation d’une Debian dessus et compilation dans tous les sens du bouzin pour arriver à faire tourner le squeezeCenter sur un processeur ARM, je me suis rendu compte qu’il fallait 256Mo de RAM minimum.
Il ne manquait que 224Mo pourtant, mais ça voulais pas marcher quand même…

Environ 5 minutes pour faire afficher la page d’accueil, c’était vraiment pas la peine.

Du coup, j’ai investi dans un serveur (hardware ce coup là) un peu plus costaud : un Céléron 420, 1Go de RAM et pour le boitier, ben pour le boitier, je l’ai déjà dis dans un autre billet, alors démerdez vous.

Et là Ô miracle, ça a été que du bonheur, c’est passé comme dans du beurre, comme papa dans maman, comme une lettre à la poste.
Bref.
Tip top quoi…

Mis à part que j’ai pas réussi à faire une clé USB bootable, le reste top.

J’ai fait un CD bootable du coup. (avec K3B et tout)

Ensuite installation de la Debian, mise à jour du fichier source.list pour ajouter le dépot du squeezeCenter, et roulez jeunesse.

5 minutes après j’avais le squeezeCenter installé et fonctionnel.
Je peux enfin profiter de ma musique sur ma squeezeBox. Et franchement, c’est le pied.

Je me suis même amusé à installer le squeezeSoft (version logiciel de la squeezeBox) sur mon macBook pour profiter de la musique sur le balcon en wifi.
Bon, le soucis, c’est que le macBook, c’est pas un audiophile. Il a des enceintes de merde…
Mais n’empêche, écouter sa musique en wifi depuis un serveur sur son balcon tout en buvant un café italien et en lisant Death Note 6, ça n’a pas de prix. Enfin, si en fait :
700€ le macbook, 400€ la squeezebox, 300€ le serveur, 90€ la freebox, 1000€ de loyer et 20€ la cafetière italienne.

Ouais, bon, en fait ça taxe, mais pour tout le reste il y a… heu, ben y’a rien, y’a juste bibi qui raque.

Bref, dans le prochain épisode, la revue complète de la squeezeBox Duet et de sa superbe télécommande…

Hier mon DT (Directeur Technique) viens me voir et me dit : "si tu veux augmenter le trafic de ton blog, écris un billet sur InDesign"

Bête comme je suis hop, je m’y colle, sauf que j’y connais rien. Je sais juste que c’est un logiciel de PAO et qu’on peut scripter le bouzin pour automatiser des taches. Apparemment il y a même du javascript dedans…

Bref voilà, maintenant il est content, j’ai fait mon billet…

Il y avait un mini concours organisé sur TechCrunch fr pour gagner une licence d’Expression Web (ça a l’air d’être un dreamweaver version Microsoft).
Il fallait répondre à une question et être dans les 3 premiers.

J’ai juste eu à copier/coller la réponse du premier et le tour était joué. J’étais pile poil le troisième.

Ce matin j’ai reçu un email de Microsoft France m’informant que j’avais gagné une licence.
Cool.

Je vais pouvoir tester ce logiciel, peut être que j’en ferai un compte rendu sur mon autre blog

Il y a quelques temps, je cherchais une solution pour écouter ma musique numérique de façon simple et en me passant de mon PC.

Après pas mal de recherche des diverses solutions possible, allant de 400€ à plus de 2000€, j’ai opté pour l’achat d’une squeezebox duet, couplée à un serveur de musique composé d’un NSLU2 et d’un disque dur externe de 500Go.

Squeebox Duet

La squeezebox permet d’écouter sa collection musicale servie soit par un serveur, soit via le squeezeNetwork, un service en ligne proposé par logitech.

Je vais vous proposer une suite d’articles sur le sujet pour vous guider pas à pas dans l’installation d’un tel dispositif.

Sommaire des billets à venir :

  1. Installation du NSLU2
  2. Installation de la squeezebox
  3. Installation du squeezeCenter sur le NSLU2

Ça devrait m’occuper quelques temps, surtout que je n’ai pas encore fini de tout installer.

A suivre donc…

Ça y’est, je me suis mis au Flash, j’ai attaqué ce week-end avec le livre "Le guide complet, Flash CS3 professionnel".

Pour le moment, rien de bien folichon hein, j’ai fait le premier chapitre : découverte de l’interface, et j’ai réalisé le premier tuto : la réalisation d’un mini site. Rien de bien compliqué là dedans.

J’ai hâte de me remettre à flash et d’apprendre à me servir de ce logiciel, notamment tout ce qui est ActionScript3, Flex et AIR après. Tout ça a l’air passionnant.

Rien à voir, mais mattez un peu la vidéo qui suit :

Depuis quelques mois, je cherche un solution pour écouter mes mp3 en me passant de mon PC.
Mes contraintes sont assez simples :

  • Un disque dur de stockage
  • Gestion des tags mp3 pour la recherche et pour l’affichage
  • Connexion réseau pour les radios web
  • Une télécommande pour piloter le système
  • Silence
  • Système indépendant, non connecté sur la TV

Pour le moment, la seule solution que j’ai trouvé, est de monter un serveur Linux avec le slimserver, le tout couplé à une squeezebox.

Seul petit hic : le prix.
En effet, 300€ pour la squeezebox, c’est un peu exorbitant. Le soucis est qu’il n’existe pas vraiment d’autre solution qui réponde à mon besoin. Les disques dur multimédia ne gère absolument pas les tag mp3, ce qui est bien dommage, et les autres systèmes sont inabordables.

La seule autre solution serait d’utiliser un iPod. Malheureusement, le système de fichiers de l’iPod étant "à chier", l’idée est refusé d’emblée.

Je te met à contribution, toi, lecteur. Si tu a une solution à proposer, laisse moi un commentaire.

Au passage, la nouvelle télécommande pour la squeezebox déchire pas mal…

Il y a quelque temps de ça, j’ai lancé un nouveau blog, parlant des technos que j’utilise, du web, etc… J’y parle principalement de Plone, un CMS basé sur le serveur d’application Zope.

Petit tour d’horizon des billets déjà publiés :

Suivez l’actu pour de nouveaux billets !

J’en parlais dans le précédent billet, je vous offre mon .htaccess pour rediriger les flux RSS vers FeedBurner, avec en prime quelques règles pour garder la compatibilité entre les billets, les catégories et les mois de dotclear 1 à dotclear 2

 # RSS Dotclear 1 RewriteEngine On RewriteCond %{HTTP_USER_AGENT} !FeedBurner RewriteRule ^rss.php$ http://feeds.feedburner.com/JsMaVieJeSaisOnSenFoutMaisBon [R=301] # Atom Dotclear 1 RewriteCond %{HTTP_USER_AGENT} !FeedBurner RewriteRule ^atom.php$ http://feeds.feedburner.com/JsMaVieJeSaisOnSenFoutMaisBon [R=301] #RSS Dotclear 2 RewriteCond %{HTTP_USER_AGENT} !FeedBurner RewriteRule ^index.php/feed/rss2$ http://feeds.feedburner.com/JsMaVieJeSaisOnSenFoutMaisBon [R=301,L] # Commentaires Dotclear 2 RewriteCond %{HTTP_USER_AGENT} !FeedBurner RewriteRule ^index.php/feed/rss2/comments$ http://feeds.feedburner.com/JsMaVie-Commentaires [R=301,L] # Commentaires Dotclear 1 RewriteCond %{HTTP_USER_AGENT} !FeedBurner RewriteCond %{QUERY_STRING} ^type=co$ RewriteRule ^.*$ http://feeds.feedburner.com/JsMaVie-Commentaires? [L,R=301] # Redirect pour garder la compatibilité entre Dotclear 1 et Dotclear 2 # billets RedirectMatch permanent /index.php/([0-9]{4}/[0-9]{2}/[0-9]{2}/[0-9]+.*)$ http://blog.js-zone.net/index.php/post/$1 # categories RedirectMatch permanent /index.php/([A-Z][a-z]+.*)$ http://blog.js-zone.net/index.php/category/$1 # mois RedirectMatch permanent /index.php/([0-9]{4}/[0-9]{2})$ http://blog.js-zone.net/index.php/archive/$1 

Voilu

Ou l’explication du pourquoi…

On m’a souvent demandé (2 fois c’est souvent, non ?) pourquoi je passais par FeedBurner pour distribuer mes flux RSS.
A cette question, on peut dégager 3 réponses :

  1. Fidéliser les lecteurs sur une adresse unique
  2. Proposer aux utilisateurs une page compréhensible
  3. Avoir des statistiques plus fiables

Fidéliser les lecteurs sur une adresse unique :

Pour le lecteur, avoir une adresse unique pour un flux permet de ne pas être tributaire des changements que le blogueur peut effectuer sur son blog.
Par exemple, si le blogueur choisit de changer de système de blog, il lui suffira de changer dans les options du flux FeedBurner la source du flux RSS et la migration du blog sera totalement transparente pour le lecteur.

Proposer aux utilisateurs une page compréhensible :

Dans RSS, il y a "Really Simple" : "Vraiment très simple", le problème c’est que ce n’est vraiment pas simple à faire comprendre aux non informaticiens. Le meilleur exemple vient d’un ami : "Tiens, au fait, sur ton site, il y a un bug. Il y a un lien et si tu clique dessus on vois le code source du site. C’est pas un petit peu dangereux ? Les gens pourraient copier ton site avec ça…" En fait non, il s’agissait tout simplement d’un flux RSS.
Faire afficher de l’XML brut est tout sauf convivial et la majorité des gens ne savent pas ce que c’est et ne devrait pas être obligé de le savoir pour l’utiliser. FeddBurner propose une feuille de style XSLT associée au Flux RSS, ce qui donne une page lisible par le commun des mortels, mais aussi par les machines. Cette page informe l’utilisateur qu’il se trouve sur une page de syndication et qu’il peut l’ajouter à son aggrégateur favori. Des boutons représentant les aggrégateurs en ligne sont présent, et un simple clique dessus permet d’y ajouter le flux.

Avoir des statistiques plus fiables :

Savoir que le flux RSS a été vu 6354 fois dans le mois n’apporte pas beaucoup de sens. En revanche savoir que l’on a en moyenne 50 lecteurs par mois et quel type d’aggrégateur ils utilisent, c’est mieux.
FeddBurner fournit ces informations ainsi que d’autres peut etre un peu plus futiles, mais interessantes malgrès tout.
En modifiant mon outil de stats pour ne prendre en compte que les visiteurs, hors lecteurs, j’ai maintenant une meilleure vue, non polluée par le flux RSS.

Au final que reste-t-il ?

Pour faire le bilan de ces trois raisons, il n’en reste plus qu’une et demi de valide :

Pour éviter que les lecteurs aient à changer l’adresse de mon ancien flux pour celui fournit par FeedBurner, j’ai écris quelques lignes dans le .htaccess avec mod_rewrite.
Je me rend compte qu’au final, j’aurais pu me passer de FeedBurner pour la première réponse. Rien qu’en utilisant mod_rewrite, si je changeais l’adresse de mon flux, il me suffirai de créer une ligne pour faire la redirection.
La première raison, n’en est donc pas une.

Proposer une page présentant le flux RSS de façons clair n’est pas réservé à FeedBurner. Depuis la version 2 de Firefox et la version 7 d’Internet Explorer, ces navigateurs identifient les flux RSS et leur associent une feuille de style automatiquement. Sur cette page apparaît une brève explication, ainsi qu’une liste des aggrégateurs les plus utilisés. En en choisissant un, le flux est automatiquement ajouté.
Ma démarche n’est pas totalement vaine, car avant que tout le parc informatique soit sous IE7 ou Firefox2, j’ai encore un peu de temps. Donc utiliser FeedBurner pour cette raison, est une bonne demi raison.

Utiliser FeedBurner n’est pas une mauvaise chose en soit non plus, avoir des statistiques plus précises peut être un bon argument, à des fin marketing par exemple, si l’on a besoin de savoir combien de lecteurs on a fidélisé…
FeedBurner permet aussi d’ajouter de l’interactivité dans les billets, on peut aussi rajouter des bandeaux de publicité, etc…
Si le blog a une grosse audience, utiliser FeedBurner peut être bénéfique aussi, cela permet d’éviter de surcharger le serveur en requêtes.

FeedBurner n’est pas une obligation, mais un choix. Et l’on peut sûrement trouver encore plusieurs autres raison d’utiliser ce service.

Je viens juste de rentré de la réunion informelle à propos de Ruby on Rails, et je dois dire que sur les 4 passé à la terrasse d’un café, nous n’avons pas énormément parlé de rails.
La conversation a surtout tourné autour du développement d’application en général et de la relation avec le client, ses besoins, ses attentes et comment les fournisseurs de services pouvaient y répondre.

Bien entendu, le premier argument à été la citation du livre agile development, qui – pour les SSII – ne peut pas forcément s’appliquer. L’exemple était celui du développeur allant chez le client, avec son portable pour définir avec lui ses besoins, et lui faire une maquette rapide en « live » et ainsi afiner les besoins du client. Cet exemple donc n’est pas toujours applicable, car généralement, c’est un commercial qui se déplace, et un commercial n’est pas forcément un développeur.

La suite de la discussion à tourné autour des autres langages que nous utilisons : J2EE, PHP, Zope / Plone, Ruby on Rails, etc…

Une petite réunion bien sympatique au soleil et qui aura eu le mérite de me faire sortir de chez moi ce week-end.

Le célèbre logiciel de gestion de photo Picasa, racheté il y a quelques temps par Google a enfin été porté sous Linux.

L’annonce officielle est comme d’hab sur le blog de google, mais la page Linux de Picasa est en 404 pour le moment, mais un autre lien existe : Picasa pour Linux.

Alors qu’est-ce qu’on a :

  • Integration avec Gnome ou KDE
  • Détection de l’appareil photo
  • En anglais uniquement (pour l’instant ?)

C’est sur ma liste des logiciels à tester…

Edit : Picasa supporte déjà plusieurs langues dont le français, il suffit de changer la langue et de redémarrer Picasa…