Guilhem Bertholet nous livre ses expériences en tant qu’entrepreneur sur les raisons qui font que ça part en couilles.

  • Syndrome du « je-veux-être-le-chef »
  • Différence de niveau d’implication (ressenti ou réel)
  • Répartition du capital reflétant mal la réalité
  • Priorités et motivations personnelles divergentes
  • Petits reproches étouffés
  • Impact de l’entourage

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Hier soir, je parlais avec des amis de mes dernières découvertes sur youtube, je suis même tombé sur quelqu’un qui n’avait pas vu (ni même entendu parlé) Kung Fury.
Du coup, petite session de rattrapage.

On commence avec du lourd, c’est ultra WTF. Je préviens.

Et pour finir, Kung Fury, si vous ne l’avez pas encore vu, vous avez raté votre weekend.

Et le clip de la BO qui va bien (avec David Hasselhoff)

Bisous.

Nous n’avons à ce jour aucune certitude. Mais le fait est qu’un faisceau d’indices tend aujourd’hui à remettre en cause l’idée ou l’image d’un Big Bang en tant qu’instant originel de l’Univers. Il est en effet possible que ce que nous pensions être le « début » ne soit en réalité qu’un point de passage ou un goulet d’étranglement entre l’actuelle phase d’expansion de l’Univers et une phase de contraction qui l’aurait précédée.

 

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En juillet et aout, je vous parlais de l’ergonomie de mon poste de travail.
Une chaise pas forcément adaptée pour être plus de 8h par jour assis dessus et le combo clavier & souris.

Depuis, ça a pas mal évolué.

Début octobre, tous les développeurs ont eu droit à une nouvelle chaise de bureau : accoudoirs, appuie tête, entièrement réglable, dossier en résille, etc…
J’ai pas réussi à trouver sur le net exactement le bon modèle, mais en gros, ça ressemble à ça :

chaise-bureau

Ca fait maintenant deux mois que je bosse avec, et ça se ressent. Pratiquement plus de tensions au niveau des épaules ni de la nuque.
En complément, j’ai un repose pied, je suis pas certain du gain, mais bon…

Maintenant que j’ai une super chaise, j’ai pu passer à l’étape suivant : le clavier et la souris.
J’ai donc commandé un clavier Typematrix. Je l’ai pris en « blank », c’est à dire qu’il n’y a pas de lettres ou quoi que ce soit d’écrit sur les touches. J’ai pris avec un skin transparent AZERTY (c’est ce qui fait qu’on sait sur quelle touche on tape).
Je l’ai reçu mardi au bureau, il faut configurer le clavier sur Mac comme étant un clavier PC et le mettre en 102 touches pour que la touche chevrons soit reconnue.
Il faut un petit temps d’adaptation, je ne tape pas encore aussi rapidement qu’avec un clavier ordinaire, mais l’habitude vient vite. En revenant sur un clavier ordinaire pour écrire ce billet, il m’a fallut quelques minutes pour retrouver mes marques.

clavier typematrix

Enfin, la souris, j’ai pris tout simplement une Logitech M500, bonne glisse, on l’a bien en main, la molette « infinie » est sympa, rien à redire.
Le fait que le clavier soit compact fait que j’ai la souris dans le prolongement de mon bras, et non pas décalé, un réel gain de confort.

logitech-m500

Voilà, avec tout ça, j’espère avoir moins mal au dos, aux épaules et à la nuque.
Je referai un point fin février, le temps de bien tester tout ça…

Y’a des semaines comme ça, où dès le lundi, on sait que ça va être chargé.
Cette semaine, j’ai envie de rester coucher tellement ça va être chargé…

  • mardi : Je dis Web sur l’économie collaborative. Une conférence qu’on organise avec Chambé-Carnet en lien avec la semaine emploi & entreprise du club des entreprises de l’université de Savoie, et on est aussi dans le programme de la semaine de l’économie sociale et solidaire. Plus de 60 personnes inscrites.
  • mercredi : Soirée whisky. Je fais parti d’un club de whisky, on goute 3 bouteilles, on devrait pas les finir, ça devrait bien se passer.
  • jeudi à dimanche : Festival International des Métiers de Montagne. Ouais. On a 30m2 de stand. Avec Chambé-Carnet, on pose un espace de coworking pendant 4j. Je serai sur le stand du vendredi au dimanche. Ca promet d’être intense.
  • jeudi : réunion « Aménagement » du futur espace de coworking. (ouais, faut bien penser au futur)
  • vendredi : Apéro Web sur l’espace de coworking au FIMM, suivi de la soirée « Before Winter Season », grosse soirée…
  • dimanche : un suppo et au lit.

Bon, mon premier levain, j’ai préféré tout jeter et recommencer, ça me semblait pas top.
J’ai l’impression que ça se passe mieux avec le second, là j’en suis à la phase de gavage : j’en jete au moins la moitié et je refait le plein avec de la farine et de l’eau, et plus ça va, plus ça fermente. Il perdu son odeur aigre. Ça me semble bien engagé.
Je sais pas exactement à partir de quand je pourrais l’utiliser…

Si y’a des experts dans le coins (je sais qu’il y en as), je veux bien leurs conseils ;)

Plus pour m’amuser que pour me lancer dans la production industrielle de pain…

J’ai trouvé cette recette, je sais pas si c’est la meilleure, pour l’instant, ça bloubloutte tranquille.

En parallèle de ça, à l’AMAP où je vais, on a un producteur de pain, qui veut gérer toute la chaine, il produit déjà son blé (à Challes les eaux), il est en train de racheter des meules en pierre pour faire sa farine, et il a un fournil, il est en affaire avec une nana qui a le fournil au Noyer dans les Bauges.
J’ai pas mal discuté avec lui mercredi soir, il est bien sympa et son pain est bien bon aussi, du coup, je lui en ai pris pour les deux prochaines semaines.
Du pain qui se garde 10 jours, on n’en voit plus beaucoup de nos jours ma brave dame !

Je viens de tomber sur cette BD, le début, m’a réellement interpelé. Quand je fais quelque chose de nouveau, il faut absolument que j’y arrive, et si possible du premier coup, parce-que, bordel, je suis pas si con, merde !

Je suis capable de tout foutre en l’air quand je n’arrive pas à faire ce que je veux, ou quand ça ne va pas dans le sens que je souhaite.

Lire cette BD m’a ramené des années en arrière, quand justement, j’apprenais le saxophone. Et c’est vrai que je pouvais recommencer un morceau pendant des heures. Je butais sur une mesure ? Pas de soucis, on reprend, plus doucement. Je bute toujours ? Ok, on va aller encore moins vite. Tiens, maintenant ça passe, on va accélérer un peu le tempo. Jusqu’à ce que ça passe à la vitesse souhaité (voir un peu plus vite pour être à l’aise).

J’ai un peu comme l’impression qu’on perd cette faculté une fois qu’on a fini les études, parce qu’une fois qu’on n’est plus à « l’école », on SAIT.
Je sais surtout que je suis con de croire que je sais et que tout doit arriver tout cuit, sans phase d’apprentissage.

Je vais tenter de réapprendre à m’amuser.