Nous n’avons à ce jour aucune certitude. Mais le fait est qu’un faisceau d’indices tend aujourd’hui à remettre en cause l’idée ou l’image d’un Big Bang en tant qu’instant originel de l’Univers. Il est en effet possible que ce que nous pensions être le « début » ne soit en réalité qu’un point de passage ou un goulet d’étranglement entre l’actuelle phase d’expansion de l’Univers et une phase de contraction qui l’aurait précédée.

 

Lire l’article.

C’est bien sur en rapport avec la planche qu’a fait Pénélope pour promouvoir la pétition contre le chalutage en eau profonde la semaine dernière.
Les supporters du revenu de base sont un peu jaloux (et ça se comprend en un sens) d’un tel succès.

C’est pas la première fois que j’en parle ici, alors lisez ce petit strip, munissez-vous de votre carte d’identité ou de votre passeport et signez ! (ça ne coute rien, et ça n’engage à rien, comme facebook).

Le CESE Européen adopte l’avis « Pour une consommation plus durable : la durée de vie des produits de l’industrie, et l’information du consommateur pour une confiance retrouvée »

L’avis du Comité Économique et Social Européen recommande :

  • L’interdiction des cas flagrants où l’appareil est programmé pour s’arrêter à la suite d’un nombre prédéfini d’utilisations.
  • Un soutien massif à la filière réparation (Des études sur les produits électriques et électroniques, pilotées par l’Ademe, montrent que seuls 44 % des produits tombant en panne sont réparés),
  • Un encouragement aux démarches de normalisation portant sur les durées d’utilisation,
  • Un appel à l’exemplarité de la commande publique,
  • L’affichage de la durée de vie des produits, ainsi, qu’à titre expérimental, d’un prix à l’année d’utilisation,
  • L’extension des garanties minimales,
  • La mise en place en 2014 d’une grande table ronde européenne,
  • La création d’un observatoire européen de l’obsolescence programmée.

Lire l’article sur le site de la Fondation Nicolas Hulot

Asseyez-vous une seconde et mettez-vous dans la peau du bambin rêveur que vous fûtes. Tentez d’imaginer le futur avec vos yeux d’enfants. Un avenir où les machines, les robots se chargeraient de toutes les tâches que nous trouvons déplaisantes. Un monde où chacun pourrait se concentrer sur l’amélioration du bien commun, à commencer par lui-même. Un univers où nous consacrerions son temps à l’éducation, aux activités artistiques, sociales et culturelles voire, tout simplement, au plaisir de vivre.

Techniquement, tout cela semble aujourd’hui possible. La preuve: le monde est plus riche que jamais. Et nous progressons sur cette voie: il y a de moins en moins de travail ! Sans compter l’immense majorité des emplois qui pourraient être rationalisés. Merveilleux !

Mais alors…

À quel moment nous sommes-nous fourvoyés jusqu’à élire des dirigeants qui nous promettent de « créer du travail » ?

Lire l’article « L’aliénation du plein emploi » chez Ploum.

Et si vous n’avez toujours pas signé l’initiative Européenne en faveur du revenu de base, c’est le moment. Vous pouvez aussi soutenir la création d’une campagne de promotion pour l’initiative sus-nommée.

Ils sont censés nourrir l’humanité, mais ils n’arrivent pas à joindre les deux bouts. Paysans en Bretagne et en Picardie, ils vivent dans la précarité, font face au surendettement et aux procédures judiciaires. Des hommes et des femmes qui aiment leur métier et ne peuvent plus en vivre dignement. Reportage photo au cœur d’une pauvreté souvent invisible.

Lire l’article complet sur Bastamag.

C’est un truc que j’ai jamais compris. Je me souviens encore, j’étais gamin et j’ai demandé à mon père : « Comment ça se fait que les agriculteurs, qui sont sensé nourrir la planète, soient obligés d’avoir des subventions pour continuer à faire leur métier ».
Plus de 20 ans après, c’est toujours vrai, et je sais pas si ça va pas en empirant, malgré des initiatives comme les AMAP, le commerce équitable et autre…

Via Raphaël Roux

Les « révélations Snowden » ne visent pas à affaiblir les sociétés démocratiques mais à les consolider, à éveiller les consciences sur les risques que comportent pour nos valeurs ce gigantesque ratissage de données permettant de lire dans nos vies, nos contacts, nos opinions, comme à livre ouvert.

Aujourd’hui sur Le Monde, toute une série d’articles sur la #NSA , la vie privée ( #privacy ), #snowden , #bigbrother

Et vous, vous en êtes où ? Vous êtes plutôt du genre « m’en fout, j’ai rien à cacher », « OMG j’étais pas au courant » ou « J’ai pris des mesures pour protéger ma vie privée » ?

Agissons maintenant

Le futur règlement européen protégeant notre vie privée est menacé par le lobby des géants de l’Internet, qui analysent tout ce que nous regardons et disons en ligne.

Découvrez pourquoi ce règlement est important et comment ces lobbys sont en train de le changer.
Appelez vos députés pour leur donner votre opinion avant le vote crucial du 21 octobre.
Apprenez à échapper à ces entreprises en reprenant le contrôle de vos données.

Voir le site « Reprenez le contrôle de vos données »

Ça fait un peu peur tout ça, j’ai lu tous les textes, et ça craint du boudin.
Je n’ai pas encore appelé mes députés, je compte le faire, ça ne coute rien.

Il y a quelques temps, j’ai basculé tous mes emails sur gmail, hum… Ça laisse songeur…

Pensez-vous qu’il soit acceptable de laisser un humain mourir de faim ? À l’heure où l’humanité produit plus de richesses que jamais, je suis convaincu que la société se doit d’être solidaire avec ceux qui sont dans la difficulté.

Si vous êtes citoyen européen, prenez quelques secondes pour signer, c’est important et cela obligera le parlement européen à débattre du revenu de base. Un million de signatures sont nécessaires et on est encore loin du compte. Faites suivre à vos amis, vos connaissances, sur les réseau sociaux. Par votre signature, vous ne vous engagez pas à soutenir le revenu de base : vous demandez juste à ce qu’il soit à l’ordre du jour du parlement européen. Même si cela vous parait utopique ou irréaliste, l’important est d’ouvrir le débat et d’élargir le champs des possibles.

Via Ploum.net

Ceux qui annoncent la mort d’Internet et la fin des échanges privés en ligne ont tendance à considérer leur gouvernement comme une entité qui leur est complètement étrangère. Dans nos sociétés démocratiques, le gouvernement, nos élus, sont les représentants du peuple. Ils sont dépositaires de la souveraineté du peuple. Et le peuple, c’est nous.

Internet n’est pas mort, c’est vous qui êtes fatigués.