Mon premier projet vient de m’être attribué. Pour l’instant j’avais bossé sur des projets déjà existant et je donnais un coup de main pour accélérer la chose et pour me faire la main.

C’est un petit projet, un site assez simple, mais je dois quand même le créer de A à Z. Je n’ai malheureusement pas participé à l’élaboration du cahier des charges ni rencontré le client pour l’instant, mais je travaille en étroite collaboration avec un graphiste.
La bonne nouvelle c’est que l’on attaque directement avec les feuilles de style CSS. Finalement la décision aura été vite prise.

On va voir comment on s’en sort et si ça apporte réellement un vrai plus (ce dont je ne doute pas un instant). J’essaie de donner quelques conseil quant à l’utilisation et à la manipulation des CSS au web designer, bien que je ne sois pas particulièrement spécialisé là dedans.

Vendredi après-midi j’aurai enfin ma première rencontre avec le client.
Je dois avoir fini la partie publique d’ici là. Autant dire que je vais pas chômer…

« C’est pas toi, c’est moi »

Une phrase que j’ai un peu trop entendu à mon goût et qui, je pense, ne suis pas le seul à avoir entendu…

C’est la phrase toute faite qu’une fille nous sort lorsqu’elle à envie de se faire troncher par quelqu’un d’autre.
Après avoir passé pratiquement 2 ans avec la même fille (ça me changait des 2 mois syndicaux), j’ai eu droit à cette phrase, et malheureusement, pas pour la première fois.

Certes, je l’avais senti venir, mais la peur de voir la vérité en face, la peur de me retrouver tout seul et la peur de devoir recommencer une relation à partir de zéro me forcait à me dire que tout allait s’arranger. Ce qui était faux, bien entendu, et lorsque l’apocalypse se présenta enfin à moi, je ne pu que pleurer sur mon sort.

Peu de temps après, j’avais repris du poil de la bête et j’enchainais les filles de passages.
Une fille que j’avais rencontré une fois sur un chat commence à me chauffer, je lui propose d’aller boire un coup le soir, chose qu’elle accepte facilement.
Le soir, j’arrive à me faire payer la boisson en contrepartie du récit de tous ses malheurs, et à l’ammener à ma garçonière gentillement preté par une copine.

Apres lui avoir servi un verre de vodka pur bien dégueux avec 2 glacons pour faire passer, je tamise l’ambiance et entreprend de lui faire un massage. La coquine ne fit même pas semblant de refuser un tant soit peu, même pour le jeu, et se mit sur le ventre pour laisser mes mains expertes faire ce qu’elles savent faire le mieux.
Après un bon petit massage, je la retourne, dévoilant sa poitrine (inexistante… (sic)), et je l’embrasse. 1 minute après on était à pwal, 10 minutes après, la pauvre n’étant pas douée avec ses mains avait déchiré la capote en tentant de me la mettre.

Vu que j’étais super prévoyant, il ne s’est rien passé de plus niveau saikse.

D’un coup, elle se lève et se met à farfouiller dans les placards de mon amie, je la regarde un peu hébété, je lui demande ce qu’elle fout, elle me répond qu’elle cherche une couverture pour dormir. Je lui dit qu’on dort pas là, je bosse le lendemain et je dois la ramener chez elle.

Arrivé devant chez elle, je pensais avoir été assez clair, pourtant, non. J’ai du le lui faire comprendre en lui faisant une simple bise et en lui disant un vieux : « A plus, on se rappelle », pour qu’elle comprenne enfin que je n’avais pas du tout envie de la revoir, même pour baiser.

Ca fait du bien de temps en temps d’être un vrai salop.

Lorsque l’on développe un site sous Zope / Plone, il faut à un moment ou à un autre penser à l’affichage, à la présentation des données, à la navigation.
Ce boulot, c’est celui des web designers.

Une fois la maquette du site faite sous photoshop, elle est transposée en page HTML statique sous dreamweaver par exemple. Cette page est ensuite envoyé aux développeurs (genre moi) qui vont, à partir de cette page HTML créer un template.

Pour les templates, nous utilisons les ZPT (Zope Page Template) qui sont des fichiers au format XML combinant des balises HTML et TAL. Les balises TAL gèrant la partie dynamique de l’affichage.

Pour l’instant, les pages HTML statiques fournies par les graphistes sont toutes faites sous dreamweaver. L’agencement des divers éléments est faite avec des tableaux, et lors de la transformation de celles-ci en template, il devient très fastidieux de se repérer parmis tous les tableaux imbriqués.

Depuis peu, nous avons une grande conversation entre les web designers et les développeurs, qui pourrait résoudre, ou du moins, faciliter le problème : utiliser les feuilles de style CSS.

Effectivement, si on utilisait les CSS à la place des tableaux, il n’y aurait plus que des blocs <div> et on éviterait de se perdre dans les imbrications.

Chose étonnante, ce sont les graphistes qui ont lancé l’idée (même si elle m’était déjà venu lors de ma première conception de templates, j’avais préféré me taire, étant tout nouveau et en CDD). Maintenant que l’idée est lancée par une autre personne avec un status plus posé que le mien, je pourrai appuyer en faveur du CSS afin que l’on puisse l’utiliser au plus tôt.
Pour les graphistes celà leur plait. Ils cherchent de nouvelles méthodes de travail et cherchent un moyen pour mettre à jour facilement le design des sites.

Le CSS permet celà : on peut modifier une feuille de style sans avoir à toucher aux templates. Par contre, le problème majeur du CSS est le support par les différents navigateurs.
Tous ne supportent pas les normes de la même manière, et il faut pourtant garantir au client que le site s’affichera sans problèmes sur n’importe quel PC avec n’importe quel navigateur.

La transition tableaux => CSS ne se fera pas du jour au lendemain. L’idée à été lancée, il faut ensuite qu’elle soit acceptée et former un minimum les web designers au CSS.

J’espère quand même voir des projets incluant les CSS avant la fin de mon CDD…

A lire : Les bénéfices des standards par un graphiste Web

Vous vous demandez surement comment vient l’idée de faire un blog ?
Les motivations, les idées, les raisons, la façon de le faire…

Avec niKo, on vous propose de voir tout ça dans un nouveau blog, d’un genre un peu particulier et pas souvent mis a jour…
Rien que pour faire le premier billet il nous a fallut a peine 3 mois.

Je piaffe d’impatience pour la suite !

Yahoo! a publié il y a quelques jours maintenant 2 API qui vont grandement aider les développeurs de sites et d’applications web2.0 :

Ensuite, on peut féliciter le projet de standardisation d’Ajax : OpenAjax ( ou )
Lire la news yahoo à ce sujet : Les éditeurs se regroupent pour créer un standard Ajax

Si en plus on rajoute Ruby on rails à tout ça, on peut vraiment développer des applications web rapidement et ne s’interesser qu’à l’important : les fonctionalités et les utilisateurs.

Une fois n’est pas coutume, j’ai délaissé ma copine pour passer le Week-End avec mes potes Johan et niKo à mon sexe au Mont-Saxonnex.

Arrivé le vendredi soir, et on attaque direct par l’apéro, bière/cahuettes/kir-au-blanc-qui-pique tout en mattant l’ouverture des JO de Turin (Torino due-mille-sei), on enchaine ensuite avec plusieurs pizza acompagné de blanc-encore-plus-dégueux. On se termine ensuite avec un petit coup de genépi et direction : le chantier.

Le chantier, c’est le bar/brasserie/boite du Mont-Sax, autant dire que toute la populace djeun’s était au rendez-vous. C’était gavé de meufs : elle était au moins 3 (pour 100 mecs).
niKo paye sa tournée : demi de Despé + vodka pomme. Et on descend à la boite. On retrouve exactement les mêmes personnes qu’en haut, y’a juste la musique et les lumières qui ont changé, sinon, il reste toujours autant de moches à draguer.

Samedi matin, réveil plutôt difficile surtout pour niKo qui prend le risque de manger le dernier bout de pizza au saumon avant même d’être sortit de son sac de couchage.
On enchaine ensuite un petit-dèj/apéro/repas, le tout en moins d’une heure. niKo n’avait pas encore terminé son thé qu’on servait déjà un blanc-qui-pique-comme-d’hab.

Midi-dix-départ-pour-les-pistes.

Bon, là rien d’extraordinaire hein… Les pistes étaient bien grattées et le hors-piste était cartonné. Mais bon, grand beau quand même et on s’est quand même assez bien marré.

En fin d’aprem on se pose devant la téloche et on matte la finale descente de bosse/freestyle dame.
On a fait le jury nous aussi. On ne jugeait pas la technique, mais plutôt la baisabilité des participantes. Finalement, on était aussi d’accord pour faire gagner la Novergienne…

Le soir, on se fait une raclette au four, technique déjà éprouvé aux 7 Laux : il suffit de prendre un plat, de foutre la raclette dedans et de faire fondre au four.
La raclette puait pas mal, j’en ai touché un bout avec les doigts, ça m’a rappelé quand je me touche l’anus…
Raclette toujours acompagné d’un blanc, mais d’un blanc-pas-si-dégueux-que-ca-finalement. On enchaine les bières et autres alcools disponible, et on termine après avoir bouffé pratiquement 1kg à 3 de raclette par une bonne rasée de genépi, puis une autre pour faire fondre les graisses, suivit d’une autre pour toujours faire fondre les graisses, puis encore une autre parce que la graisse veut toujours pas fondre, puis finalement perdre le compte, mais continuer à en boire quand même.

Dimanche, levé super tôt pour aller à Flaine.
Il y avait un ski test pareil qu’il y a 2 semaines. J’ai pu tester les Demon Flame, j’aime vraiment beaucoup ces skis, ils sont très maniables, ça me va nickel.
Bref, vers 14h, pause casse-croute, avec de la Mondeuse et une autre ‘teille de rouge pour accompagner tout ça. Et enfin retour sur aix vers 19h.

On peut retenir de grandes phrases de la part de niKo :

  • « j’mangerai bien des cahuettes »
  • « Jojo, t’a encore des bières ? »
  • « Bon, qu’est-ce qu’on se boit ? »

C’est à peu près tout ce qu’il a dit du Week-End, mais il a du répeter au moins 50 fois les 3 en 2 soirées…

Via neuro :

L’heure est aux blasphèmes et je ne veux pas être en reste. C’est pourquoi, moi aussi, j’ai choisi de publier des caricatures de divinité.


La Licorne Rose Invisible (et topless) prise en photo au Macumba.

Suite à une soirée plus qu’arrosée, elle se serait faite sauter par le Monstre Spaghetti (voir si dessous). Par contre, aucune photos de leurs ébats dans les toilettes de la discothèque n’ont pu être sauvé suite à l’abus d’alcool et au rejet soudain de la boisson par le photographe.

On comprend aisément qu’il fallait que la Licorne Rose Invisible soit bien pétée pour se faire bourrer par un spaghetti…

Une fois n’est pas coutume, et pourtant cette fois, ce sera coutume : je change le jour de la réunion de chambé-carnet.

Le week-end, je ne suis plus du tout dispo, j’en ai parlé avec quelques-un des plus présents, il sont d’accord pour dire que ce sera plus simple en semaine aussi (mis à part une personne qui préfère le week-end, elle se reconnaitra).
Ce sera donc le second jeudi du mois, un chambé-carnet pris en sandwitch entre deux réunion d’alpinux, certes ça va faire des mois chargés, mais bon, un chambé-carnet n’est pas aussi « formel » que pourrait l’être une réunion d’alpinux.

Dans la suite des changements que je propose, on pourrait faire de temps en temps une bouffe : on se rejoins vers 19h pour l’apéro et ensuite resto. Bref, rien de bien original, mais ça pourrait changer. Dans le genre original, j’ai appris que Lyon-Blog organisait un lazer game ce samedi sur Lyon.

Je rappel vite fait le principe de chambé-carnet :

  • t’a un blog
  • t’a pas de blog
  • tu veux boire une biere
  • tu veux discuter avec des blogueurs

Si il y a au moins un de ces points qui te correspond, tu peux venir à chambé-carnet, la rencontre des blogueurs Savoyard.

A jeudi donc, 21h au café le Flore, en face de la médiathèque, à Chambéry.

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Apparement, la hausse de 12% du prix du gaz ne fait pas que des heureux.

Certains envoient même des lettres à Gaz de France pour leur signaler leur mécontentement.

Il est vrai que Gaz de France nous tiens un peu en otage dans cette affaire, un peu comme avec le pétrole, l’électricité, et autre… Il serait peut être temps de trouver de nouvelles sources d’énergies « renouvelables » comme on dit, bien qu’aucune énergie ne soit renouvelable en soit…

Encore un Week-End plus fatiguant que reposant…

Samedi matin, de bonne heure, on tente de partir (Louisa et Moi) à Mont-Saxonnex rejoindre Johan. Finalement on arrivera vers 10h30…

Petite visite d’appartement avec Johan, et passage pour un couple homo auprès de la gérante de l’agence immobilière. C’est pas grâve, on à l’habiterude.

L’après-midi, on avait laissé Louisa à ses devoirs et nous allons skier au Mont-Saxonnex. petite station familiale, mais très très sympatique.
Premier point positif : l’appart de Johan est à 200m des caisses.
Deuxième point positif : il n’y a pas grand monde.
Troisème point positif : y’a des petits hors-pistes bien sympa.

Bref, on s’est bien amusé, et j’ai fait des efforts pour m’améliorer en ski, Johan à réussi à me dire ce qui n’allait pas trop chez moi, du coup j’ai corrigé, et effectivement il y a eu du mieux.

Dimanche, on part pour Flaine. Espace Montagne avait organisé un ski test. Ca c’était bien cool, surtout quand on a découvert que Johan et moi avions la même longueur de coque de chaussure, ce qui nous a permis de nous échanger nos skis.

J’ai donc testé :

Les Flame pro m’ont vraiment beaucoup plu. J’ai vraiment senti une différence énorme avec mes vieux 9X. Sur piste, c’est incomparable. Même Johan m’a dit que je skiais beaucoup mieux, plus serré avec les Flame qu’avec mes 9X. Et pourtant, je ne me forçais pas du tout…
Je crois que je vais investir dans une nouvelle paire d’ici peu… :)

Sinon, Flaine, bof, pas terrible terrible, quelques hors piste sympatique, mais rien de sensationnel. c’est de la grosse station, avec de bon gros blocs de bétons. Miam, vive l’architecture !

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Pour rappel : je suis embauché pour une mission de 4 mois à Bayard-Service en tant que développeur Zope / Plone.

Dès lundi matin, j’ai mis les pieds à l’étrier et j’ai attaqué sur les chapeaux de roues. Petits bugs à corriger sur un site, modifications, rajouts, et développement de nouveaux modules.
Je ne connaissais pas Plone plus que ça, j’avais juste mis en place un CMS pour gérer quelques documents. Là c’est tout autre et les technos changent aussi.

J’étais habitué au PHP / MySQL, où je maitrise parfaitement le code que je produit, je peux développer une interface d’admin sans faire le moindre bug, où alors, ça va être des fautes de frappes.
Maintenant, j’utilise les ZPT : Zope Page Template. Ca ressemble à une page XHTML avec à l’interieur des balises des attributs particuliers que Plone va interpréter et ainsi rendre dynamique la page appelée.
Les attributs sont simple et peu nombreux, ce n’est pas là le problème.

Le problème vient de :

  1. Quand il y a un bug, le rapport de bug est quasi inexistant, limite il pourrait juste afficher : « Il y a une erreur » que ca nous avancerais pas plus.
  2. La doc : nulle ici aussi. Pour l’instant je n’ai jamais trouvé de doc référencant toutes les méthodes que l’on pouvait appliquer à un objet, ca pourrait pourtant être pas mal de savoir ce qu’on peut faire avec un objet. Non ?

Bref, donc le développement revient plutôt à du tatonnement où, lorsque l’on a plus de chance à un gros copier coller avec adaptation si besoin est.
Ce qui revient à dire que j’ai l’impression de ne pas du tout maitriser ce que je fait, et que ça tient plus du miracle quand ça marche (en même temps, je dois faire pas mal de miracles en ce moment…) qu’à une vraie logique.

J’espère vivement que ça va s’améliorer et que je vais enfin pouvoir produire du code et non faire parti de la cour des miracles.

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