J’avais encore jamais fait de plugins pour #Wordpress et le PHP, c’est pas trop mon dada. Mais bon, je m’y met doucement, et j’ai créé deux plugins #indieweb :

Le premier, IndieAuth Links ajoute dans le header de votre page d’accueil des balises link avec l’attribut rel=me et href=monprofil cela permet de vous identifier sur les sites supportant le protocole IndieAuth avec votre nom de domaine.
Le but d’#IndieAuth est de fournir un identifiant unique, un peu comme #OpenID, mais sans tous les problèmes d’OpenID.

Le second, rel-syndication va afficher à la suite du billet les liens vers les copies postées sur les silos tels que #Twitter ou #Facebook. En gros, c’est les deux liens que vous voyez en grisé juste là dessous.

J’ai aussi fait un fork de Social, avec deux modifications pour le moment :

  1. Si le billet est un status, on envoie le texte et non le titre du billet
  2. Si le billet est un status, on remplace le lien vers le billet par un permashortcitation.
    Ça évite de polluer twitter et facebook avec un lien qui n’apporte rien de plus par rapport au texte déjà présent.

Social, permet de publier directement les billets de wordpress vers twitter et facebook, et récupère les commentaires publié sur ces deux silos et les ajoute au billet.

Depuis quelques mois, les applications compagnons font leurs apparitions sur les app stores. J’ai pas encore pu tester, mais c’est bien le genre de truc qui pourrait me motiver à m’acheter une tablette.

Quand on regarde l’application pour Assassin’s Creed 4, ça donne envie de tester et de voir ce qu’il est possible de faire avec, surtout qu’avec Marlène on a la fâcheuse habitude de regarder l’autre jouer. Ça pourrait donc prendre tout son sens, et l’un pourrait aider l’autre avec la tablette.

Frandroid a rédigé un dossier sur le sujet, je suis bien d’accord avec leur conclusion : il faut faire attention à ce que ces applications restent gratuites, qu’elles ne défavorisent pas les joueurs qui ne l’ont pas, et que toutes les options et actions qui sont dans l’application soient aussi accessible directement depuis le jeu.

Pour le moment, je retourne à Assassin’s Creed 3 qui est ma fois fort sympathique et qui remet un bon coup de neuf à la série. Révélation m’ayant plutôt dégouté, je suis bien content de ce nouvel opus.

Windows, c’est comme une vieille voiture. C’est relativement fiable, même si parfois ça tombe en panne, ça se répare, et tu peux conduire un peu partout avec.

Mac, c’est comme une limousine. C’est joli, c’est confortable, ça fait rêver certaines personnes mais ça coute assez cher,tu peux rouler qu’en ville et au final tu vas jamais très loin avec.

Linux, c’est comme des échasses. C’est pas cher, tu peux te promener partout avec mais ceux qui n’en on pas te regardent bizarrement, ça à l’air compliqué de s’en servir et tout ceux qui en ont regardent de haut tous ceux qui n’en ont pas.

Via DTC

Le CESE Européen adopte l’avis « Pour une consommation plus durable : la durée de vie des produits de l’industrie, et l’information du consommateur pour une confiance retrouvée »

L’avis du Comité Économique et Social Européen recommande :

  • L’interdiction des cas flagrants où l’appareil est programmé pour s’arrêter à la suite d’un nombre prédéfini d’utilisations.
  • Un soutien massif à la filière réparation (Des études sur les produits électriques et électroniques, pilotées par l’Ademe, montrent que seuls 44 % des produits tombant en panne sont réparés),
  • Un encouragement aux démarches de normalisation portant sur les durées d’utilisation,
  • Un appel à l’exemplarité de la commande publique,
  • L’affichage de la durée de vie des produits, ainsi, qu’à titre expérimental, d’un prix à l’année d’utilisation,
  • L’extension des garanties minimales,
  • La mise en place en 2014 d’une grande table ronde européenne,
  • La création d’un observatoire européen de l’obsolescence programmée.

Lire l’article sur le site de la Fondation Nicolas Hulot

Asseyez-vous une seconde et mettez-vous dans la peau du bambin rêveur que vous fûtes. Tentez d’imaginer le futur avec vos yeux d’enfants. Un avenir où les machines, les robots se chargeraient de toutes les tâches que nous trouvons déplaisantes. Un monde où chacun pourrait se concentrer sur l’amélioration du bien commun, à commencer par lui-même. Un univers où nous consacrerions son temps à l’éducation, aux activités artistiques, sociales et culturelles voire, tout simplement, au plaisir de vivre.

Techniquement, tout cela semble aujourd’hui possible. La preuve: le monde est plus riche que jamais. Et nous progressons sur cette voie: il y a de moins en moins de travail ! Sans compter l’immense majorité des emplois qui pourraient être rationalisés. Merveilleux !

Mais alors…

À quel moment nous sommes-nous fourvoyés jusqu’à élire des dirigeants qui nous promettent de « créer du travail » ?

Lire l’article « L’aliénation du plein emploi » chez Ploum.

Et si vous n’avez toujours pas signé l’initiative Européenne en faveur du revenu de base, c’est le moment. Vous pouvez aussi soutenir la création d’une campagne de promotion pour l’initiative sus-nommée.

Les weekend de trois jours, ça devrait être obligatoire. Le rythme parfait pour alterner le boulot et le repos, tout en ayant du temps pour faire plein de choses.

Ce fut un weekend cinéma. 3 films : Le cœur des Hommes 3, Malavita et cet aprèm, le transperceneige.

Ce fut aussi un weekend bouquinage, ça fait toujours du bien d’avoir le temps de se poser et de pouvoir lire tout son saoul, je suis toujours au 4ème tome du trône de fer.

On a profité pour faire de la cuisine, petit salé au lentilles, moussaka, et là j’ai une soupe sur le feu.

Hier j’ai reçu l’EP de We are Match, Relizane, je l’ai écouté vite fait, hum… On dirait un groupe pour jeune filles pré-pubères.J’ai en même temps passé une commande de CD et Assassin’s Creed 3. Ah, et d’ailleurs, j’ai commencé Half Life 2. Je l’ai acheté sur steam pour une bouchée de pain. C’est assez marrant de jouer à un jeu aussi vieux. Les graphismes… Hum… Ça sent bon les années 2000.

Et pour finir ce matin, on a refait l’électricité dans la cave.

Ils sont censés nourrir l’humanité, mais ils n’arrivent pas à joindre les deux bouts. Paysans en Bretagne et en Picardie, ils vivent dans la précarité, font face au surendettement et aux procédures judiciaires. Des hommes et des femmes qui aiment leur métier et ne peuvent plus en vivre dignement. Reportage photo au cœur d’une pauvreté souvent invisible.

Lire l’article complet sur Bastamag.

C’est un truc que j’ai jamais compris. Je me souviens encore, j’étais gamin et j’ai demandé à mon père : « Comment ça se fait que les agriculteurs, qui sont sensé nourrir la planète, soient obligés d’avoir des subventions pour continuer à faire leur métier ».
Plus de 20 ans après, c’est toujours vrai, et je sais pas si ça va pas en empirant, malgré des initiatives comme les AMAP, le commerce équitable et autre…

Via Raphaël Roux