Je raconte ici ma vie qui est somme toute fabuleuse, il faut bien le reconnaitre.
Je partage des liens, mes humeurs, des sujets qui me touchent (owi, touche moi) ou qui me font marrer, parce qu'il est bien connu que le rire est le propre de l'homme, et vu que je suis quelqu'un de propre, je ris (il m'arrive aussi de manger des pâtes).
Samedi. Il fait beau. Je propose à Marlène d’aller faire un tour de vélo.
Tranquille.
Pas comme avec Fred.
On part donc faire une balade, je me trompe de chemin, et finalement, on arrive au bout du monde, là où la Leysse prend source.
On traverse le cours d’eau, on se pose quelques minutes, on profite du soleil et de la fraicheur de l’eau.
Puis on redeviens des enfants : on se met à construire un barrage. Une demie-heure durant, on charrie des pierres de plus ou moins grosse taille, on les empiles. Le niveau d’eau monte. Nos affaires prennent l’eau.
C’était une après-midi comme quand on était gosse.
Il y a quelques mois de ça, au mois de mai pour être exact, j’ai appris via « copains d’avant » que Louisa était partie en Australie.
Passée la surprise, j’étais réellement content pour elle : elle avait toujours voulu y aller pour voir la grande barrière de corail, les baleines, les kangourous, etc…
Je me souviens avoir envoyé un message via ce service pour lui souhaiter un bon anniversaire, la seule réponse que j’ai eue fut celle du service me prévenant que mon message avait bien été lu.
En début de semaine, je suis retourné sur copains d’avant et j’ai retrouvé sa fiche, je l’ai un peu exploré pour voir ce qu’elle faisait, si elle était toujours en Australie et si elle avait trouvé du travail là-bas.
Je lui ai donc renvoyé un message, assez enjoué pour lui demander de ses nouvelles. Je voulais avant tout avoir quelques nouvelles d’elle, je suis content de sa nouvelle vie, et je me dis que si elle était restée avec moi, elle n’aurait sûrement pas pu vivre ça.
Ça fait maintenant 1 an et demi qu’on est plus ensemble. J’ai abandonné l’idée de comprendre la ou les raisons qui l’ont poussées à me quitter pour un autre et je me suis fait une raison. Elle ne reviendra pas, c’est comme ça.
Quand on était encore ensemble, elle m’avait plusieurs fois demandé si on resterait amis si jamais on se séparerait, je lui avais répondu que pour moi, c’était hors de question.
Quand elle m’a quitté, c’est l’inverse qui s’est passé au final. Elle ne voulait plus avoir de contact avec moi, surtout pour rassurer son nouveau copain, et c’est moi qui cherchais à renouer le contact.
Comme quoi…
Je lui envoie donc mon message, lui demandant de ses nouvelles, si elle avait vu le rassemblement des requins baleines et si elle était heureuse, bref, tout ça quoi.
Et comme la première fois, la seule et unique réponse fut celle du service me prévenant que le message a été bien lu.
Elle ne veut vraiment plus me parler.
À ce point, le lecteur qui me connaît un tant soit peu est en droit de se demander : « Mais, et Marlène ? »
Alors, Marlène.
On a commencé à coucher ensemble, avant même que l’histoire entre Louisa et moi ne soit terminée. Au début, ce devait être une relation « uniquement sexuelle ». Puis on s’est installé en colocation ensemble avec Fred, et maintenant, ça fait un peu plus d’un an qu’on est ensemble.
Nos sentiments l’un envers l’autre ont évolué, je sais que je tiens beaucoup à elle, et qu’elle tient aussi à moi. Jusqu’à quel point tient-elle à moi ?
Aucune idée.
Au cours de notre relation, j’ai eu l’occasion et l’envie de lui dire le fameux « Je t’aime » deux fois.
Deux fois où elle n’a rien répondu.
Je me suis demandé après coup, si je le pensais vraiment ou si c’était mon envie d’être aimé, mon besoin d’amour qui m’avait fait dire ça afin qu’elle me le dise en retour.
Je n’ai pas été surpris du fait qu’elle ne me retourne pas ma phrase qui est une question cachée. Quand on dit : « je t’aime », on sous-entend : « et toi ? ».
Je n’ai pas été surpris car qu’elle m’avait dit un jour qu’elle ne pourrait plus être amoureuse (ou qu’elle a peur d’être de nouveau amoureuse peut-être ?).
Pour l’instant, je sais que je suis bien avec elle, mais je me demande si notre « couple » ne tient pas uniquement parce qu’on vit en coloc’ avec Fred.
Comment cela se passerait si on vivait réellement en couple ?
Si vous trouvez que La Brute, c’est un peu trop simplet et trop bon enfant pour vous, allez donc faire un tour sur Hordes.
Dans Hordes on vous propose de rejoindre vos amis pour discuter, partager des moments forts, se promener la main dans la main et aller à la rencontre des autochtones. Pour cela on vous a préparé tout ce qu’il faut : une corde, des fusils, un tondeuse à gazon, du cyanure et une gourde. Une seule gourde.
Hier, c’était la réunion des anciens combattants. Enfin, plutôt d’une partie de notre groupe de projet de DESS, certains n’ayant pas pu venir, d’autres ayant renoncé face au mauvais temps.
A la base, on devait louer des bateaux pour passer l’aprèm sur le lac, au final, on est tous allé chez Nico se baigner dans la piscine et le soir venu, manger une pizza chez Pepone.
Une bonne journée qui fait plaisir, revoir des potes, passer un moment ensemble à dire des conneries, tout ça quoi.
Il faudrait que je pense à aller les voir plus souvent à Lyon ou Paris…
Un tout petit billet pour dire que je viens de mettre à jour mon DotClear.
D’ailleurs j’en profite pour inaugurer le « billet rapide », super pratique, on a un formulaire direct sur le tableau de bord, et un bouton pour enregistrer et publier directement.
Autre nouveauté, la prévisualisation directement DANS le template du blog. ENFIN !!!
Et donc, bientôt la version finale de Dotclear 2. D’ici quelques semaines je pense.
Mis à part le jeu de scène du chanteur que je n’ai pas forcément apprécié, le reste était vraiment bien. Certes, pas du niveau du groupe original, mais bon, c’est peut être parce que je le connais trop par cœur que j’ai eu un peu de mal à me sortir de l’original… (« han, il manque des notes dans le solo de guitare ! »)
Merci à Titoun de m’avoir prévenu par mail.
Ton frère assure grave à la batterie :)
J’ai pu revoir (de loin) d’anciens potes du conservatoire : Alex et Jérémie.
Au fait, Matana, c’est fini ?
Pour ceux qui ont raté le concert d’hier soir (qui était gratuit), il y a une scéance de rattrapage samedi 25 juillet à Rumilly, et c’est gratuit aussi. Plus d’info sur la page youtube de Vacarme.
Hier en rentrant du boulot, hop ! Motivation ! On va faire un petit tour de VTT avec Fred. On savait pas trop où on allait, alors dès qu’on voyait une bifurcation on la prenait.
Non, en fait, on est allé se balader un peu tranquille dans les bois, pis à un moment, croyant bien faire, on à été tout droit. Manque de pot, le chemin redescendait vers la route. Du coup le tour a un peu été écourté.
Qu’à cela ne tienne.
Aujourd’hui, rebelotte (et dix de dèr’), on refait la même, mais ce coup là, on prend à droite au lieu d’aller tout droit. Du coup, le tour a été quand même beaucoup plus long. C’était bien sympa en tout cas. C’est mes premières sorties en VTT depuis ma boite l’an dernier.
Certes, je suis beaucoup plus prudent dans les décente (ah bon ?), mais je suis plutôt en confiance. C’est le principoil (poil poil).
Vivement la prochaine sortie (vendredi ?). Ca fait du bien, ça donne du pep’s !
Ce week-end, ça a vraiment pas été facile pour tout le monde. Surtout pour moi en fait.
Vendredi soir : on devait aller au rocking chair, finalement, on y est pas allé, on est juste allé au resto, puis retour à l’appart pour jouer à la wii : couché à 2h.
Samedi : barbuc à Sevrier chez les parents de Benoit. Toujours aussi cool cette maison au bord du lac… Manque juste un bateau pour faire du wake quand on veut…
Dimanche : levé super tôt pour aller voir « Wall-e » en avant première. Énorme ce film. Vraiment énorme.
En parlant de Wall-e, on arrive au cinoche et on voit un papier : « le film « voyage au centre de la terre » n’est pas diffusé en 3D, les projecteurs n’étant pas numérique ». Cool.
Coup de bol, le gars qui était à la caisse avait un badge « direction », du coup Marlène en profite pour l’agresser. Elle lui demande si ils comptent un jour avoir des projo numérique. Le gars lui répond qu’ils en auront quand ils ouvrirons le nouveau cinéma au Halles. Et que celui-ci va fermer. Il nous dit que c’est un investissement qui coute cher.
Marlène continue, et lui demande si il y aura un parking au Halles (c’est en plein centre ville, impossible de se garer), le gars lui dit que oui, un parking sous terrain, payant, of course. Marlène lui répond : « ha, ben on viendra plus au ciné alors… », et le gars de la direction lui dit : « non, mais celui-ci fermera peut être pas, et on mettra aussi des projo numérique… »
Bref, je trouve quand même qu’au prix de la place de cinéma, ils pourraient faire un effort.
Si quelqu’un s’y connait en cinéma, j’aimerai bien qu’il m’explique pourquoi ça coute si cher et qu’il me fasse un détail de toutes les charges, qu’il me dise, sur une place de ciné, combien d’euros vont dans les poches du ciné…
Je me souviens, il y a 10 ans, c’était 35 francs la place de ciné en plein tarif… Maintenant c’est combien ? 9 euros ? 60 francs ? Ça fait pratiquement du x 2 ça, non ?
Donc après le ciné, on devait aller à la plage faire un pique-nique, bon, ben raté, il faisait pas beau, du coup on a fait pique-nique à l’appart.
Et moi, après mangé, ben sieste. 2h.
Putain que ça fait du bien !
Je vais y aller mollo cette semaine, je vais essayer de pas trop sortir.
Ah, mercredi, au centre des congrès à Aix les bains, y’a un concert gratuit : The Wall. Profitez-en !
C’est la première année où je fais les 3 jours de festival. Un véritable marathon.
Musilac, c’est un festival de musique qui se déroule sur 3 jours à Aix-les-Bains. Un de plus parmi tous ceux existant, on dirait que c’est la mode en ce moment de proposer l’été un festival de musique.
Remarque c’est cool, ça permet d’attirer du monde et de découvrir des artistes (ou d’en éviter certains).
On va commencer par l’organisation du festival.
Musilac, ça devient une vraie pompe à fric. 100euros les 3 jours. L’an dernier c’était 75euros. On pourrait croire qu’il y a eu du nouveau entre l’an dernier et cette année. Ben en fait, non. Rien.
Ensuite, quand on rentre sur le site, avant d’accéder aux deux scènes, il faut passer par le « village », le village, fait les 2/3 de la surface total du festival, avec des boutiques, des buvettes, et des stands. De quoi dépenser encore plus de fric. Par contre ils prennent pas la CB, et toute sortie du festival est définitive. Si vous comptiez dépenser vos sous, ou aller chercher votre sandwich chez vous plus tard, vous l’avez dans le baba.
On a ensuite la zone « pipi ». Avec des pissotières et des toilettes. Autant dire qu’au bout de 3 jours, c’était insupportable de passer par là, manque de pot, c’est obligatoire, c’est en plein dans le chemin. Impossible de les éviter.
Miam.
Cette année, Musilac, c’était Woodstock. Vive la pluie et la boue. C’était couru d’avance, on le savait depuis assez longtemps qu’il allait pleuvoir. Sauf que les organisateurs n’ont rien prévu, mis à part qu’ils ont croisés les doigts pour qu’on passe « entre les goutes » (dixit un orga). Manque de pot, on est pas passé entre les goutes.
résultat, l’esplanade du lac, s’est transformé en champs de boue. La mairie va devoir refaire toute la pelouse.
Sympa.
Ils auraient pu prévoir le coup et, je sais pas. Faire des caboti pour éviter de niquer toute la pelouse et se cradoquer jusqu’aux genoux.
Voilà, ça c’est fait.
Ah si, encore un truc, le dimanche soir, on commençait à fatiguer, du coup on est parti avant la fin des Rita Mitsuko, on a voulu sortir par la sortie de secours qu’ils ouvrent normalement une fois ce concert fini.
Marlène demande gentiment à l’agent de sécurité si il peut nous ouvrir, il nous dit que non, c’est pas possible. Juste à ce moment là, un autre agent de sécurité fait rentrer en douce une jolie jeune fille et un petit garçon. Entrer, oui pas sortir. Marlène lui demande comment ça se fait que nous qui avons payé ne pouvons pas sortir par une sortie de secours, alors qu’une fille et un petit garçon rentrent sans payer. Réponse de l’agent de sécurité : « heu, oui, mais c’est un chef ». Faudra qu’il apprenne à mentir lui.
Qualité général des concerts
La qualité passe non seulement par les groupes présents, mais aussi et surtout par le matériel sonore et les ingénieurs du son.
Pas de chance, ils ont du embaucher des stagiaires pour le son.
On a du leur dire : « Voilà, vous avez 400 000 WATT à disposition », et ils se sont dit « Cool, on va tout mettre à fond ».
Du coup, le son était saturé, 3 fois trop fort, et comble du festival, ils distribuaient des bouchons pour les oreilles.
Au lieu de dépenser du fric dans des bouchons, ils auraient mieux fait de diminuer le son de moitié. Ca aurait évité un son dégueulasse et ils auraient fait des économies.
Les groupes que j’ai vu et écouté.
Y’en a pas mal, je ne vais parler que de ce que j’ai aimé et ceux que j’ai vraiment détesté.
Dans ceux que j’ai aimé :
Hocus Pocus : un groupe de Hip Hop. Ce n’est absolument pas le genre de musique que j’écoute, ça a donc été pour moi une très grande surprise, j’ai été emballé. Un jeu de scène parfait, une musique carré et de bonnes paroles.
Mika : forcément, je suis limite fan. Le concert était tout simplement énorme.
The John Butler Trio : là aussi je suis fan, donc pas de surprise, j’ai adoré, forcément.
Vanessa Paradis : malgré le fait que le concert soit interrompu au bout d’une demi heure à cause du déluge, c’était bien partit… Dommage…
Rita Mitsuko : Tout simplement énorme.
Babyshambles : bon concert, bon son. Dommage que le groupe ne se préoccupe pas plus du public…
Yael Naim : J’ai adoré sa fraicheur et sa légèreté. Elle se faisait des petites blague toute seule, elle se marrait, c’était cool. De la bonne humeur à partager.
et j’en oublie, je vais pas tous les citer non plus…
Dans ce que j’ai vraiment pas aimé en fait, il y a plusieurs groupe, mais on peut les rassembler en un seul : la brit pop.
Putain que ça me saoule. Aucune créativité, de la pop anglaise, de base sans rien de plus. On écoute un morceau, les autres sont les mêmes. On écoute un groupe, on a entendu tous les autres. Aucun pour sortir du lot… Affligeant.
Pour finir.
C’était quand même bien sympa, on s’est bien marré, y’a eu de très très bon moment, des moment beaucoup plus chiant, mais j’en garde un bon souvenir. Par contre, 3 jours de suite, c’est fatiguant…
Hier, en pleine attente du concert de John Buttler Trio à Musilac, je vois mon voisin de devant sortir son téléphone portable discrètement, regarder sa copine à sa droite, faire genre il fait rien.
Puis il va dans un menu, regarde encore sa voisine, un autre, et enfin rédige un SMS. Au bout de deux minutes je peux lire sur son écran :
« Tu me bouffe les gonades ? »
J’éclate de rire (en silence hein, quand même), je regarde Marlène qui elle aussi en pouvait plus.
Elle a du lire la même chose que moi…
J’ai repris le taf lundi. La dernière semaine de mes vacances j’étais content : je rêvais de nouveau. Mais depuis lundi, plus rien.
Je dors comme une masse.
Par contre, j’aurais préféré ne pas rêver cette nuit.
Un rêve étrange, mélangeant mes cousines, l’Espagne, et, forcément, Louisa.
Ça m’en a réveillé, j’avais envie de pleurer.
Ça fait 1 an 1/2 qu’elle m’a quitté, et je rêve encore d’elle. Pourtant j’ai tout pour être heureux sans elle.
Je ne sais plus quoi faire, à part me convaincre de laisser le temps au temps…
J’adore l’été. Il fait beau (en général), chaud, les filles sont pas trop vêtues, les jours plus longs. On peut en profiter pour être dehors le soir, et le midi, on va manger au bord du lac. On prend les maillots de bain, et généralement on va se baquer.
J’aime bien aussi l’hiver, il fait froid, il y a de la neige, on peut aller au ski.
J’aime bien aussi l’automne, il fait encore assez beau, on va ramasser des chataignes.
J’aime bien aussi le printemps, les beaux jours reviennent, et les jupes aussi…
Fred a acheté le coffret super collector machin truc des James Bond. Le coffret avec le set de poker « Casino Royal ».
On en a profité pour se regarder « Le monde ne suffit pas », tout en buvant de la vodka martini, à la cuillère, pas au shaker (on en a pas).
Le truc trop la classe quand même. Le rêve de tout homme. Ca manquait juste de James Bond girls…
Deux semaines de vacances (qui expliquent mon absence totale – ou presque – du net) ça fait du bien.
Surtout quand on en profite pour bouger un peu. Et quoi de mieux l’été quand il fait déjà bien chaud chez soit que d’aller dans un autre pays où il fait encore plus chaud ? Peut être d’aller au pôle nord en hiver. Ou de faire une sieste, à la limite.
On a profité de notre première (quand je dis « on », c’est moi et Marlène, hein) semaine de vacances pour passer une semaine (de vacances, ça va de soit) en Espagne, sur la Costa Brava. Au début je pensais que brava voulait dire bravo, mais du coup, la « côte bravo » ça veut pas dire grand chose. Par contre quand on sait que brava veut dire en fait sauvage, d’un coup, tout prend sens. Et après on me dira que l’espagnol ou le catalan, y’a juste à ajouter des « a » et des « o » et c’est bon…
Sur cette petite introduction, je vais maintenant vous raconter qu’est qu’on à fait (glandé en fait).
On est donc parti le vendredi soir juste après le boulot. Enfin, juste après… Le temps de finir les bagages, de passer à décath acheter 3 bricoles, et d’appeler des campings. Bon finalement on est partit vers 19h. En plus mon chef (au taf) arrêtait pas de me rajouter du boulot, c’était chiant. Je voulais me casser, alors je speedais pour finir, et lui à chaque fois, paf, il m’en rajoutait une tartine. Le con. Heureusement qu’il lit mon blog.
Une fois parti, direction le sud, l’Espiguette pour être précis. Ouais, l’espiguette, genre on y va tous les 15 jours maintenant. On a nos repères et tout. On est super potes avec les locaux : les moustiques. En tout cas, eux ils nous aiment bien.
Petite halte donc en Camargue avant de reprendre la route le lendemain matin.
Le lendemain matin, hop, direction l’Espagne. Tossa de Mar, nous voilà. On arrive dans un camping conseillé par le routard, un camping 4 étoiles. Ma fois. Bien classe, tout en terrasses. Ombragé et tout. Bien top. La plage à 5 minutes dans le camping, la plage de nudistes juste à coté et de quoi faire un peu de plongée.
On a donc passé notre temps entre la plage, la visite de Tossa, Lloret, et Barcelone.
Ah oui, Barcelone. La ville où il faut se lever tôt.
On décide d’aller à Barcelone le mardi, du coup on se dit que le lundi soir on irait au dodo tôt. Nous, on était ok, mais pas tous les espagnols du camping. C’était la st Jean, et en Espagne, pour la st Jean, c’est pétards à fond. Ils balance cash les paquets de 10 dans le feu, histoire que ça fasse bien du bruit. Du coup, impossible de dormir avant 3h du mat’.
Mardi matin, réveil difficile, surtout que je l’ai éteint sans que Marlène l’entende. Levée des corps 1h plus tard et tête dans le cul de rigueur. Ca commence bien…
On décolle finalement vers 11h. On se paume, impossible de savoir où on était dans ce foutu plan. On fait une pause pipi dans un centre commercial, et on repart. On trouve un parking on se gare. C’est le genre de parking qu’on voit pas en France, ceux où il faut laisser les clés sur la voiture pour que le gars puisse bouger la voiture au cas où. Pas rassurant. Pour 6h de parking : 17€. Ca taxe hein ?
Barcelone. Enfin.
On remonte la Rambla, on va voir le fameux marché couvert de type art nouveau : pas de chance, c’est fermé.
On va voir la Cathédrale du quartier gothique : oh, ben en rénovation, on a juste vu des pubs pour de la téléphonie mobile.
On veut ensuite manger un bout, on regarde dans le guide du routard ce qu’il y a dans le coin. Yeah, un truc à tapas. On y va : fermé.
On se motive quand même pour aller à la Sagrada Famillia, histoire de voir quand même quelque chose, la bouche de métro pour y aller est fermée.
Bon, heureusement, celle d’en face, non.
On fini enfin par voir quelque chose. On fait le tour de la Sagrada Famillia, et on s’arrête manger des tapas (il était temps, il était 16h). On décide de faire ensuite la visite de l’intérieur de la Sagrada. Ca vaut vraiment le coup. C’est assez impressionnant, entre les vitraux et les piliers qui forment une forêt d’arbres, c’est unique en son genre.
On a fini par aller voir le parc Guell, un parc aussi étrange que beau, fait entièrement par Gaudi, de l’art nouveau donc. Moins impressionnant que la Sagrada Famillia, mais quand même. Surtout quand on sait que le parc et les maisons étaient en fait des maisons témoins. Pour l’achat donc…
Avant de rentrer en France, on a passé une journée à Figueras et Cadaquès pour visiter le musée Dali et voir sa maison. On a dormi au camping de Cadaquès. Et heu. Je ne vous le recommande pas. On est les uns sur les autres, il n’y a pas d’ombre, horrible. Ca va bien pour passer une nuit, mais faut partir vite le lendemain matin…
Et voilà, une semaine ça passe vite, mais c’était bon !
On a bien bronzé, bien rigolé, bien mangé, bien bu et tout. De très bonnes vacances. Vivement les prochaines !
Il y a quelques mois, je m’étais acheté un bonsaï, un Sérissa, pour remplacer mon défunt Orme de Chine.
Manque de pot, le Sérissa est encore plus fragile que les Ormes. Résultats, quelques mois après, et surtout un hiver, et quelques oublis d’arrosage et le tour est joué. Il sèche, perd ses feuilles… Après des mois de soins, il reste plus qu’une branche de vivante,
Du coup, j’en ai racheté un, un Orme de Chine, qui est quand même beaucoup plus résistant…
Fred aussi en a un, c’est un Troën. C’est increvable ce machin…