En ces temps de PRISM, NSA, et autres ACTA, il est de bon ton de donner un peu à l’un des rares organisme qui se batte pour notre liberté sur le net : La Quadradure du Net.

Pour un budget prévisionnel de 225 000 € (quand même), qui seront répartis comme suit :

  • 60% seront utilisés pour le financement des permanents
  • 30% seront consacrés à l’action et à la participation à des rencontres, débats et événements institutionnels ou communautaires
  • les 10% restants seront utilisés pour la location du local et des dépenses administratives

Ah oui, on est en France, les salaires, ça taxe (dans les deux sens du terme).

Bref, en contre partie, hormis le fait que vous aurez plus de chance d’être libre et d’utiliser internet librement (ohhhhh), vous aurez, (attention les yeux) : un « Pi-xel » de la couleur de votre choix, et recevrez 1 000 décimales de π dans un certificat personnalisé, envoyé par email au format PDF + un tirage original de qualité supérieure.

Ouais, quand même…
Heureusement que je compte pas là dessus pour faire un don…

Soutenez la Quadrature du Net.

Après avoir lu « La citadelle des ombres » et « Les aventuriers de la mer« , j’ai attaqué la suite de la saga : « Les cités des anciens » de Robin Hobb.
Ça se passe dans le même univers, mais avec des personnages principaux différents. On retrouve quelques personnages des aventuriers de la mer, mais c’est juste pour dire et pour raccrocher les wagons.
Plutôt sympa pour l’instant, là j’attends que le prochain bouquin sorte dans la collection que j’ai commencé…

Du coup, en attendant, je lis le Trône de fer.
Si vous n’avez pas vu la série, c’est bien dommage pour vous.
Si vous avez vu la série et que vous aimez lire, lisez le livre, ça permet de mieux comprendre beaucoup de choses.
Bien que la saison 1 soit extrêmement fidèle, la saison 2 part en cacahuète. J’en suis au tome 2 de l’intégrale et c’est beaucoup plus clair pour moi maintenant.
L’écriture est un peu étrange des fois, mais bon, ça passe.

Ah, et au taf, on s’est amusé à imprimer la carte de l’univers du trône de fer.

Gaumont Pathé vient de mettre en place un nouveau programme de fidélité.
Sommes nous éblouis ?

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Si éblouis est un synonyme de floué, alors oui, surement.

Avant, pour chaque place acheté, 1 point était offert, maintenant, on a 20 points.
trop cool, vu qu’il fallait 5 points dans le mois ou 24 dans l’année pour avoir une place de ciné, ça va aller plus vite. Ah, mais non, maintenant il faut 300 points pour avoir une place gratuite.

Donc, si on ramène au nombre de place achetées, ça fait 15 places. Alors certes, ça n’est plus limité aux 5 places achetées dans le mois, mais quand même. La différence est énorme.

L’an dernier, nous somme allé environ 50 fois au cinéma, Marlène a donc eu deux fois une place offerte grâce au 24 places achetées, et au moins 5 places offertes grâce aux 5 points dans le mois. Au total : 7 places offertes.
Maintenant, pour avoir autant de places offertes, il faudrait aller à 105 séances.

Alors, certes, maintenant on peu cumuler des points en achetant des confiseries, mais bon, prendre du poids et me détruire la santé pour avoir des places offertes, très peu pour moi.
Plus de points, ouais, c’est facile de partir sur des chiffres qui n’ont plus rien à voir, moi aussi je peux faire une carte de fidélité à 100 points la place, et il faut 70000 points pour avoir une place offerte…

Vous aussi vous êtes éblouis ?

Le printemps arrive enfin (un peu), et la saison des acacias en fleur aussi.

J’aime bien ramasser ce que la nature nous donne pour m’en nourrir, comme à l’automne, les champignons et les châtaignes.
C’est un moment sympa, où l’on est en phase avec la nature et la saison, et on se régale aussi.

En rentrant en vélo, sur la piste cyclable le long de la Leysse, les acacias sont légion, et il suffit de se vautrer dans les talus (attention, ça glisse) pour cueillir les fleurs.
Avec Marlène, on en a ramassé pas mal, et la première recette qu’on a fait, c’est les fameux beignets d’acacia.
Marlène m’en parle depuis plusieurs années, et on a enfin réussi à savoir a quoi ressemblait la fleur, et à quelle époque les arbres fleurissent.

Pour faire des beignets, rien de plus simple, il faut faire une pâte à frire, on trempe la grappe de fleur dedans, on fait frire et on mange.
Super simple, super bon.

Deuxième recette : la glace.
Super simple aussi, une fois le lait/crème fraiche bouilli, on fait infuser les fleurs dedans pendant 15 minutes, on filtre et on fini l’anglaise. Laisser refroidir, puis turbiner.
Done.
Rien de plus simple, et c’est très bon aussi.

Troisième recette : les cookies.
Super simple aussi a faire, quand on sable la pâte au début, il suffit d’ajouter les fleurs, préalablement effeuillées pour ne garder que les pétales, dans la pâte, et le tour est joué.
Très sympa aussi, ça donne un bon gout :)

On a congelé le reste des fleurs dans plusieurs petits sachet, ça se conserve nickel, et ça se décongèle en 2 minutes à l’air libre.
On pourra s’en servir pour noël par exemple, ça pourra être sympa en plein hiver d’avoir des fleurs à manger ;)

Je me suis inscrit à l’opération Vélo de CourseS organisé par l’agence éco-mobilité de Chambéry.
Cette opération permet de faire découvrir qu’on peut faire ses courses autrement qu’en prenant sa voiture, et qu’on peut les faire à pieds. Heu, à vélo.

Coup de bol, j’ai été sélectionné.

En début de mois, on (avec Marlène, on est un con, mais avec Marlène, non.) est allé récupéré notre super caddie de grand-maman qu’on attache au vélo.
Le caddie ressemble à ça :

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Pour l’attacher au vélo, y’a un truc en plus à ajouter au caddie, et surtout, il faut ajouter un machin sur le truc du bidule.
Pour faire plus clair (ça l’était pourtant), il faut mettre un système d’accroche sur le vélo.
Il en existe deux modèles : le BigEasy, et le EasySnap.

Je vous laisse cliquer sur les liens et voir à quoi ça ressemble, j’ai la flemme de mettre d’autres photos, pis vous êtes grands hein.

Donc, au début, j’me suis dis : je vais mettre le EasySnap sur mon porte bagage, ça sera plus cool et plus intégré.
Bon, le problème, c’est que la plaque où doit venir se fixer le bordel sur mon porte-bagages n’a pas les trous en faces des yeux, donc, grâce à un subtil subterfuge (une plaque d’allu achetée à l’entrepôt du bricolage), je fixe le tout ensemble en faisant des trous de raccordement dans la plaque d’allu.
Je déporte le feu arrière, et le tour est joué !

Et hop, c’est partit pour un test grandeur nature, on part à vélo avec le caddie au cul, et là, je m’aperçoit que le machin valdingue dans tous les sens dès qu’il y a la moindre bosse.
Bon, ok, quand il sera rempli, ça devrait moins voler.
On va acheter des œufs (du coup), et d’autres trucs (genre des packs de lait)(pour faire du poids), et on revient.
J’arrive à la maison, et là : drame.
Le EasySnap n’est plus à l’horizontale, il fait un angle vers le bas assez prononcé. Je regarde un peu mieux, effectivement, la plaque qui est sur le porte-bagages est complètement pliée. Je la redresse et re-drame : la soudure lâche.

Quelques jours plus tard, je vire tout le merdier, et je refixe la plaque avec du scotch pour enlever les gens dans les séries américaines (c’est du solide).

Ce matin, je suis allé cherché le BigEasy, et je vais le monter ce soir, on verra ce que ça va donner, si ça tient ou pas.
Faut que je trouve un moyen pour éviter que ça me nique la peinture sur les haubans, vu qu’il manque des bouts de caoutchoucs…

Je ne sais pas de quelle catégorie vous appartenez, mais j’ai eu la chance de faire parti des deux.
J’ai donc pu bénéficier d’une large expertise en la matière.

Le col bleu, quand il va aux toilettes, il se lave d’abord les mains, puis va pisser, et retourne au travail.
Le col blanc, quand il va aux toilettes, il pisse, se lave ensuite les mains, puis retourne au travail.

Pourquoi ?

Parce que le col bleu à généralement les mains plus sale que sa bite. Le col blanc parce qu’il considère que sa bite est plus sale que ses mains.

Quand à moi, quand j’étais un col bleu, je me lavais les mains avant et après.
Avant, parce qu’effectivement j’avais les mains sales, et après, juste pour faire durer un peu plus le temps de pause pipi.

Maintenant que je suis un col blanc, je ne me lave plus les mains, ni avant, ni après. Tout simplement parce que ma bite est aussi propre que mes mains (voir plus), et que je sais pisser sans m’en foutre sur les doigts.

Ben les cocos, ça faisait bien longtemps que je n’étais pas venu écrire par ici.
Beaucoup de lectures, beaucoup de travail, et beaucoup de travail. (oui, j’ai deux métiers).

Bonne nouvelle, j’ai terminé les Aventuriers de la mer.
Superbe, c’était vraiment bien, je me suis régalé. J’ai un autre cycle de Robin Hobb en attente qui se passe toujours dans le même monde et dont l’histoire est plus centrée sur les dragons.
Marlène m’a offert à noel les deux premiers tomes, je les fait patienter un peu, je me les gardes.

Ensuite, j’ai lu les 3 tomes du roman graphique de Manu Larconnet : Blast.
Juste énorme. Graphiquement, scénaristiquement… Tout est aux petits oignons.

Pour continuer dans ma foulée : « je lis des trucs pour reposer mon cortex », j’ai lu le 1er tome d’Entropia, de Maxime Chattam, ça reprend les même personnages de « Autre monde » là où on les avait laissé, et ça repart pour une aventure.
Rien de bien folichon, c’est pour les mômes, ça se lit comme de rien tout en laissant un arrière gout de « n’y revient pas ».

Et pour finir, j’ai lu « Dans les forêts de Sibérie » de de Sylvain Tesson.
Bon, là, rien que quand tu sais que c’est un prix Médicis, ça pose d’entrée de jeux le niveau.
Oui, c’est bien écrit (heureusement) et oui, c’est un bouquin qui me parle.
Un gars qui se barre tout seul comme un con pendant 6 mois dans une cabane de 9m2 au bord du lac Baikal, ça me parle. On rentre dans la catégorie phantasmes.
Si vous croisez ma mère et que vous lui demandez ce que je voulais faire quand j’étais petit, réponse : « Trappeur dans le grand nord ».
Je suis fan du film « Into the wild », je dois être un des rares à ne pas m’être endormi en regardant « Le dernier Trappeur », donc forcément, lire un livre où le gars fait l’ermite, ça fait écho en moi. Ce qui est assez paradoxal, vu que je n’arrive pas à passer 2h seul, sinon je m’emmerde au plus profond sans rien savoir quoi faire de mes dix doigts.

Bref.

Et là, du coup, ben j’ai tenté de reprendre la lecture de la Divine Comédie, mais non, vraiment trop dur à lire, il faudrait que je lise au moins 50 livres sur la mythologie, sur l’histoire et sur la théologie pour arriver à comprendre les canto.
Pour chaque chant, il y a des notes explicatives qui sont quasi aussi longues que les vers…

Du coup, Marlène m’a passé un bouquin sur la confiance en soi, ça a l’air sympa, j’ai déjà lu le titre ;)

Dans la vie, il y a des moments où il faut rester dans sa file, ne pas en sortir au risque de créer un bordel monstre.

Non, je vais pas parler d’UMP, ni même de politique, mais plutôt de l’accident de voiture qui nous est arrivé il y a deux semaines sur la VRU de Chambéry.

On roulait tranquillement sur la file du milieu, la file de droite étant chargée et roulant moins vite que nous. On arrivait au niveau de la sortie 15 dans le sens Chambéry/Aix-les-bains, je fait une remarque à Marlène comme quoi ça ralentit devant, elle freine et comme ça, d’un coup, une voiture qui se trouvait à côté de nous viens nous faire un câlin.
Il n’y a pas eu de choc violent, Marlène a su rester sur sa file et ne pas aller se coller contre une autre voiture de la file de gauche, je vois le rétroviseur droit partir en morceau et d’un coup, je sens que le pneu droit est crevé.
Bon, j’me dis que la matinée commence bien, que ça va être chiant de changer la roue et tout ça, mais au moins, il ne pleut pas.

Le gars de l’autre voiture me fais signe qu’il va se garer plus loin, on le suit, et on se gare derrière lui.
Marlène lui dit « Ben alors ? On change pas de file comme ça sans regarder », et l’autre lui répond « Ben, ça freinait, et plutôt que de me faire rentrer dedans par derrière et vu que je prenais cette sortie, j’ai changé de file. »
Logique imparable : j’ai pas envie de me faire rentrer dedans, et vu que je tourne à droite, je tourne à gauche sans regarder.

Bon, le gars a pas été chiant, on avait un constat dans la voiture, on l’a remplis, on a fait un joli petit dessin, et pendant ce temps là, j’ai changé la roue.
Quand elle a été remontée, on s’est aperçu que la roue touchait le bas de caisse. Et là, on s’est dit : pas bon. Effectivement, en reprenant la voiture, je me suis vite rendu compte que la direction avait été touchée et qu’il y avait un gros soucis. Donc direction notre garage habituel qui n’était pas loin du tout.

Je vous épargne, l’arrivée au garage, et la tête du garagiste quand il a vu la roue.
Bref, un collègue nous a ensuite déposé à l’assurance, on a montré le constat : c’est clair, c’est 100% de la faute de l’autre conducteur, pas de soucis de ce côté là. La chance nous sourit une fois de plus, le garage juste à côté de là où on a posé notre voiture est affilié à l’assurance, donc on aura rien à débourser.

L’expert passe, il dit qu’il y en aura pour à peu près 2000€ de réparation, mais que la carte grise va être bloquée en préfecture, et qu’un contrôle technique sera fait une fois les réparations effectuées pour vérifier qu’il n’y a pas d’éléments de sécurité qui ont été touchés. La carte grise sera débloqué une fois le contrôle technique passé.
Par contre, il nous dit que le garage ne pourra pas prendre en charge la voiture avant 2 semaines, mais qu’on peut la faire changer de garage.
Dont acte. On change de garage.

Et maintenant, ben on attends, y’en a pour a peu près 3 semaines de réparations, entre les réparations effectives, le contrôle technique et le suivi par l’expert.
Donc on attends et on a plus de voiture, on aura peut être une voiture de courtoisie début décembre…

A suivre.

Depuis qu’on a emménagé dans notre appart, de temps en temps, on a le 300mA qui saute. Impossible de savoir pourquoi, il n’y a pas de raison apparente.
Des fois, ça tient pendant des mois, des fois ça saute deux fois dans la semaine, et ce généralement quand on est pas là, et non, c’est pas non plus lié à une activité électrique haute, genre le lave vaisselle + la machine a laver + le four. Je dirais qu’on a fait le test de lancer les 3 en même temps et ça tient.

Donc du coup, ben je débugue.

J’ai commencé par regarder mon tableau électrique, et j’ai pris le disjoncteur le plus gros (32A) qui est celui du four/plaques vitro céramique et dès qu’on ne s’en sert plus, hop, je disjoncte.
On a commencé en aout, et jusqu’à aujourd’hui, ça n’avait pas sauté. On commençait à se dire que c’était gagné.

Mais non. Ce matin, plus de jus, le 300mA a lâché.

On va donc passer au disjoncteur suivant et attendre…

Je sais pas si vous connaissez les barCamp, d’après wikipedia c’est une rencontre, une non-conférence (en) ouverte qui prend la forme d’ateliers-événements participatifs où le contenu est fourni par les participants qui doivent tous, à un titre ou à un autre, apporter quelque chose au Barcamp.
Le vinoCamp, c’est pareil, mais en associant le monde du vin. Donc on regroupe vignerons, négociants, etc… avec des personnes du monde du numérique et de la communication, on les met ensemble dans des ateliers et on discute de choses comme les vignerons sur les réseaux sociaux, la communication sur internet, etc…

Pour le déroulement, ça a commencé le vendredi soir au Wine Not, à Chambéry, pour le Champagne Day. Pas mal de Champenois étaient là et nous ont fait gouter leur production. Je retiens surtout le champagne Tarlant, qui poutre grave sa mère.
Samedi matin, direction la maison de la vigne et du vin à Apremont, et là, on attaque la grosse journée.
Petit mot d’introduction, puis tout le monde se présente avec 3 mots clés.
Sur un mur une grille représente les sessions d’ateliers ainsi que les salles disponible, il y a 3 salles et 3 sessions, il faut donc 9 ateliers.

Pour arriver à faire émerger 9 idées d’atelier, il faut du monde, on était une bonne grosse centaine, et il fallait bien ça.
Une fois la grille rempli, les sujets de la première session sont annoncés et chacun va rejoindre le groupe qui l’intéresse. La discussion est ouverte, tout le monde peut participer, mais là encore, sur des groupe de 30 personnes, seulement 3 ou 4 personnes participent activement, les autres écoutent.

Conclusion, pour faire en sorte qu’un barCamp fonctionne : il faut du monde.

Pour finir la journée, à partir de 17h30 : dégustation de vins. Savoie, Bordeaux, Champagnes, etc…
Là, c’était énorme, je crois que j’ai jamais gouté autant de vins de ma vie en une seule fois.
Mention spéciale pour le domaine Revelh qui font des vins naturels dans les Pyrénées orientales, les champagnes Janisson, et le domaine Dupraz qui a une mondeuse v2 qui envoie du gros.

Ah, et j’allais oublié, le midi, c’était mon pote Benoit de Savoie Saveurs qui faisait le buffet. Comme d’hab, c’était super bon !

Dimanche, on commence avec la visite du domaine de Méjane, dans la combe de Savoie. Visite du conservatoire des cépages. On aura tous bien retenus le cacaboué, un cépage que même les oiseaux n’en veulent pas.
Dégustation des vins du domaine, et on décolle pour Saint Pierre d’albigny où une nouvelle dégustation de vin nous attends avec un buffet.

Et là, les gars, j’ai gouté la meilleure mondeuse du monde. Certes elle est pas à 3€ la bouteille (40€ la 2009), mais je pense que je vais en prendre deux ou trois bouteilles…

Bon, ben voilà, merci encore à Grégoire, Vicky et Franck pour ce weekend de fou.
C’était top.

Le weekend dernier à Chambéry, c’était la grande (ker)messe de la BD.
Comme tous les ans, auteurs, dessinateurs, vendeurs, coloristes, éditeurs et j’en passe se sont réunis dans notre petite ville de Savoie pour rencontrer le public.

J’y suis allé parce que j’avais une entrée gratuite, n’étant pas très dans le monde de la BD, mais j’en lis un peu quand même, je voulais voir ce que c’était comme événement.

Ben les gars, j’ai été vraiment déçu.

Le concept c’est : tu paye, tu rentre, tu fais la queue pendant 1h devant le stand de ton auteur préféré avec ta BD sous le bras, il te fait une dédicace, et tu te barre. Tu peux aussi continuer et aller voir l’auteur suivant, mais je crois que le nombre de BD que tu peux importer est limité.
Mais il faut savoir aussi que certains auteurs ne dédicacent que les BD qui sont achetés dans la librairie centrale du festival. Ah oui ! La bonne idée !
Non, mais c’est vrai hein, je suis passé devant un stand, il y avait un gros panneau : « ne fais de dédicaces qu’au BD achetées à la librairie centrale du festival », et le mieux c’est que le gars n’était même pas à son stand. Je pense que le public a du le boycotter et il s’est tiré.

Bref, en gros, il n’y a rien à faire à ce festival mis à part payer pour pouvoir acheter des BD. Les rencontres avec les auteurs sont nulles, les expos ne sont absolument pas mises en valeur, et les auteurs font du travail à la chaine, digne des mangaka sous pression pour sortir leurs planches dans le prochain Jump.

J’ai du resté 1h au festival, et j’ai du bien passer la moitié de mon temps au stand des grapheurs medlakolor à discuter avec un des membre du collectif que je connais depuis que j’ai 3 ans…

Je comprend un peu mieux pourquoi tous les blogs de BD que je suis sur le net ne parlent jamais du festival de BD de Chambéry…

Parce que sinon, ça fait mal.

Dimanche, j’arrive à motiver Marlène d’aller faire de l’accrobranche à la Féclaz.
On part le matin, (assez) tôt, on arrive avant 10h au spot, on prend le matos, et on attaque.

Verte, jaune, bleue, violette, et on va au panoramique.

Hormis le fait que c’est haut (très haut) et que je lâche toute une série de petits pets tout en montant à l’échelle, tout va bien.
On passe les pont de singes, pont népalais, et autres joyeusetés, et on attaque la descente à grand coup de tyroliennes qui s’enchainent les unes après les autres.

Bon, et là, à la seconde tyrolienne (alors que j’en avait déjà fait 4 ou 5 sur les parcours précédents), vas savoir pourquoi, j’ai la jambe gauche qui traine un peu et j’ai le tibia qui rencontre la plateforme.
J’ai un peu mal, mais rien de violent, je garde ma jambe, je saigne, bon, rien de grave.

Je dis à Marlène de faire gaffe, de bien lever les jambes en arrivant.

Je re-regarde ma jambe : en fait, ça pisse vraiment le sang, je regarde de plus près : merde, je me suis ouvert.

Bon, pas d’échappatoires, on continue, j’essuie de temps en temps le sang qui coule (sans toucher la plaie) et au bout de 20 minutes, j’arrive enfin en bas, je vais me faire faire les premiers soins avant d’aller au urgences me faire recoudre.

Donc direction « Médipole », un hôpital privé nouvellement construit, j’attends 10 minutes, et hop 40 minutes après, j’étais recousus, 6 points de suture.

Bon, là ça tire un peu, mais ça va, j’ai du doliprane de prescrit, mais ça ne fait pas assez mal pour que j’en prenne.

Donc privé de baignade pendant 10j, c’est con, j’avais une rando SUP de prévu aujourd’hui sur le lac d’Annecy.
Ça sera pour septembre du coup.

Bref : levez les jambes.

Les vacances, c’est pas encore pour tout de suite, alors quand on a vu qu’on avait posé le lundi et le mardi de congé pour faire le viaduc avec le 15 aout, on s’est dit qu’on allait partir en camping.

Le choix de la destination était crucial : pas trop loin, de préférence dans le sud, avec du soleil et de l’eau pour se baigner.
J’ai de suite pensé au lac de Ste Croix, dans les gorges du Verdon.

Jeudi soir, on prépare toutes les affaires, on met un max de trucs dans la voiture, et vendredi matin, on part au taf, avec la voiture chargée comme une mule.
Vendredi vers 10h du mat’ j’appelle le camping : complet.

Merde.

Loose.

J’appelle un second camping : complet aussi.
J’appelle tous les autres camping : tous complet.

Bon, c’est la grosse merde.

Marlène cherche un autre endroit, et elle me parle du lac de Serre-Ponçon.
Connais pas, mais c’est encore moins loin, proche de Gap, on appelle deux campings, ils ont de la place : go.

J’étais jamais allé à ce lac, et franchement, c’est un super coin. Très sauvage, beaucoup de plaques NL (comme partout en France apparemment), un soleil qui tape plutôt dur et qui fait croustiller la peau, un lac à l’eau froide, et un gars qui fait de la location de Stand Up Paddle (SUP pour les intimes).

Le camping est pas mal, un peu loin de tout, il faut faire 10km pour trouver le seul et unique distributeur automatique du coin. Ou alors faut aller à Gap.
Hormis ça, c’est nickel.

Programme des vacances :

  • 9h : debout, petit dèj
  • 10h30 : plage, farniente
  • 13h : retour à la tente, apéro, et bouffe
  • 15h : sieste
  • 17h : plage/piscine
  • 19h : apéro, bouffe
  • 22h : dodo

Des vacances sans surmenage :)

On a quand même fait un peu de sport, le mardi matin, rando de 2h30 en SUP sur le lac, super sympa, on a découvert la côte et les criques, c’est vraiment top.

On s’est aussi tapé un petit speed : plus de cartouche de gaz.
On va à l’intermarché qui est à 10km, ils ont pas les cartouches, on demande à l’accueil où est-ce que l’on pourrait trouver notre bonheur : « ah, ben ici, y’a rien, faut aller à Gap, à 20km ».
OK…
Bon, finalement, on est allé au décat de Gap, et après, on a passé l’aprèm à se balader dans les rues du centre de Gap, ça nous a permis de faire nos touristes.

Bref, de bonnes « pré-vacances », qui nous ont fait du bien et nous on permis de nous reposer et de bronzer !

Bon, aller, dans le prochain billet, je vous apprend qu’il faut lever les jambes quand on fait de la tyrolienne.

Bisous.

Ça y’est, on a dépassé les 500km avec les vélos (depuis qu’on a installé les compteurs).
500km, en deux mois, c’est pas énorme, mais bon, c’est toujours ça.
On a pris les vélos quasiment tous les jours pour aller au taf ce mois de juillet !

Ce week-end, j’ai nettoyé la chaine de vélo et je l’ai graissé, c’était pas du luxe vu comment elle couinait (la salope).

J’ai pu aussi valider le concept de la glacière sur le porte bagage, faut juste éviter les bouteilles de bières à l’envers. C’était un peu la piscine en arrivant :)

Ouais, c’est les promos sur steam en ce moment, c’est bien cool.
Bon, y’a pas grand chose sur mac, mais bon… Y’a quelques trucs, genre j’ai pu acheter Portal 2 pour pas cher.

Du coup, voilà à quoi ressemble ma bibli steam :

steam.jpg

Pas mal de jeux indé quand même, merci le humble indie bundle :)

Ah, et sinon, j’ai ressorti mon vieux paddle thrustmaster, et grace à mon pote richard, j’ai réussi à le faire marcher sur mac :)
Du coup, c’est bien sympa pour jouer à limbo, super meat boy, vvvvvv, etc…

Yeah !

Il y a genre deux mois, j’me suis acheté un compteur de vélo, du coup, je peux enfin savoir a quelle vitesse on va, et combien de kilomètres on fait.
Marlène en a gagné un grâce à Chambéry Métropole, un peu plus avancé que le mien, il donne la vitesse moyenne sur le trajet et le temps du trajet.

Donc, pour aller de chez nous jusqu’à Savoie Technolac il y a 12,13km, on fait du 25km/h de moyenne sur le trajet, on va à une vitesse max de 27km/h sur le plat et on met 30 minutes pour faire le trajet.

Une donnée intéressante aussi est la durée de vie de la batterie.
Pour ça, j’ai fait un tableau, où je met le nombre de kilomètres journalier, et j’ai une autre colonne qui additionne les kilomètres jusqu’à la prochaine recharge.
Sur la batterie, c’est écrit que l’on peut faire jusqu’à 140km.
Sur un site on trouve comme info que la durée de vie de la batterie est de 70 à 120km (déjà, ça change).
En pratique, si la batterie est rechargée à fond, on fait en moyenne 90km (sur un itinéraire relativement plat).

Pour résumer :

  • 24km/jour
  • 30 minutes de trajet (aller)
  • 25km/h de moyenne
  • 27km/h max sur le plat
  • 90km d’autonomie en moyenne
  • 10h pour recharger la batterie

Je vous met en plus mon tableau en ligne pour consultation, si jamais ça vous intéresse :)
Le tableau est mis à jour dès que j’utilise mon vélo.

Stats Kalkhoff Agattu C8 Batterie 18A.