On profite du fait d’avoir un très très bon pote et sa femme qui habitent à Marseille en ce moment (ils bougent beaucoup, mais c’est bien, ça nous permet d’aller les voir), pour visiter et découvrir un peu cette ville étrange.

Ce coup, ça a été rapide, deux jours seulement, mais on a bien profité !

Arrivée à Marseille le vendredi soir, on se met en jambe en mangeant le repas traditionnel de rupture du jeune du ramadan, le ftour.
Je m’était vachement préparé psychologiquement à manger comme un ogre, finalement, ça s’est bien passé, Mériem a été sympa et n’a pas fait « trop » à manger. C’était bien sympa de nous faire partager ce moment.

Le lendemain, on lève l’ancre pour les iles du Frioul. Le temps d’acheter un parasol (qui va nous servir pas que pour le soleil), et de faire un petit tour sur le vieux port le temps d’embarquer, on remarque que la lotte, ça a franchement une sale gueule et qu’on comprend pourquoi on ne la voit jamais (normalement) sur les étals.
Arrivée au Frioul, on se dit que vu qu’il doit faire approximativement 40°C, plutôt que d’aller se baigner, on va aller marcher pendant 2h sous le cagnard, ça sera quand même vachement plus sympa.
Quelques kilomètres et t-shirts à essorer plus tard, on opte pour une plage. Deux secondes après, on est dans l’eau, masque sur la tronche à poursuivre les poissons.
Midi vient, on se pose pour manger un bout, pique nique sortit du sac, saucissons bière fraiche (comme dit le poète), tout va pour le mieux jusqu’à ce qu’on se rende compte qu’un orage arrive droit sur nos gueules. Bon, au début, on se dit : « naaaaaaaaannnn, mais c’est bon, ça va passer à côté ».
10 minutes plus tard, tout le monde fuyait la plage, nous on a fait la technique de la tortue, on s’est tous mis sous le parasol (cf plus haut, j’avais prévenu). C’était câlin avec les affaires de plages à quatre sous un mètre carré. Une demie heure plus tard, les binouzes étaient vidée et le saucisson terminé, le beau temps revient. On en profite pour aller dans une autre calanque à 30 minutes de marche de là.
Calanque merveilleuse, avec une petite ile dans la baie, super sympa. On repoursuit les poissons, on bronze, on joue avec des tampax usagés, le paradis.

Le soir, petit resto au bord de la plage de pointe rouge, plancha de fruits de mer avec un petit rosé pour faire glisser.

Dimanche, on va au Mucem, le bâtiment est fichtrement beau – comme l’est le mot fichtrement, je l’utilise pas souvent pour pas trop vous habituer, bon, ça vaut pas un « quenouille », mais c’est pas mal je trouve – ils ont fait une structure externe aérienne, arachnéenne du plus bel effet.
On a fait deux expos : « le grand bazar » et « le bleu et le noir ». Le premier, j’ai bien aimé, l’autre non, je me suis fait chier.
En sortant, on s’est fait un bagel, dans un tout nouveau resto, c’était super bon. Première fois de ma vie que je mangeais un bagel, ça valait le coup. Un peu cher la facture final, mais bon, c’était les vacances.

Après le bagel, direction le 13ème où on retrouve un collègue de boulot. Les parents de sa copine ont une énorme maison avec piscine, piscine qu’on a largement utilisé pendant le reste de l’aprèm.

Bon, pis c’est pas tout, après, fallait rentrer, le moment le plus chiant, j’avais tellement pas envie, qu’on est partit avec pratiquement 2h de retard…

Ça fait toujours du bien de voir ses potes.

Photo de Christophe EYQUEM

La Cour de Justice de l’Union Européenne a confirmé le 12 juillet dernier l’interdiction de commercialiser les semences de variétés traditionnelles et diversifiées qui ne sont pas inscrites au catalogue officiel européen. Ecolo propose une réforme de la réglementation, qualifiée d’absurde.

Des associations comme Kokopelli ou Semailles se retrouvent dans l’illégalité: elles préservent et distribuent ces semences.

Source : rtbf.be

Via EncolpeBizcom

Gaumont Pathé vient de mettre en place un nouveau programme de fidélité.
Sommes nous éblouis ?

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Si éblouis est un synonyme de floué, alors oui, surement.

Avant, pour chaque place acheté, 1 point était offert, maintenant, on a 20 points.
trop cool, vu qu’il fallait 5 points dans le mois ou 24 dans l’année pour avoir une place de ciné, ça va aller plus vite. Ah, mais non, maintenant il faut 300 points pour avoir une place gratuite.

Donc, si on ramène au nombre de place achetées, ça fait 15 places. Alors certes, ça n’est plus limité aux 5 places achetées dans le mois, mais quand même. La différence est énorme.

L’an dernier, nous somme allé environ 50 fois au cinéma, Marlène a donc eu deux fois une place offerte grâce au 24 places achetées, et au moins 5 places offertes grâce aux 5 points dans le mois. Au total : 7 places offertes.
Maintenant, pour avoir autant de places offertes, il faudrait aller à 105 séances.

Alors, certes, maintenant on peu cumuler des points en achetant des confiseries, mais bon, prendre du poids et me détruire la santé pour avoir des places offertes, très peu pour moi.
Plus de points, ouais, c’est facile de partir sur des chiffres qui n’ont plus rien à voir, moi aussi je peux faire une carte de fidélité à 100 points la place, et il faut 70000 points pour avoir une place offerte…

Vous aussi vous êtes éblouis ?

Le printemps arrive enfin (un peu), et la saison des acacias en fleur aussi.

J’aime bien ramasser ce que la nature nous donne pour m’en nourrir, comme à l’automne, les champignons et les châtaignes.
C’est un moment sympa, où l’on est en phase avec la nature et la saison, et on se régale aussi.

En rentrant en vélo, sur la piste cyclable le long de la Leysse, les acacias sont légion, et il suffit de se vautrer dans les talus (attention, ça glisse) pour cueillir les fleurs.
Avec Marlène, on en a ramassé pas mal, et la première recette qu’on a fait, c’est les fameux beignets d’acacia.
Marlène m’en parle depuis plusieurs années, et on a enfin réussi à savoir a quoi ressemblait la fleur, et à quelle époque les arbres fleurissent.

Pour faire des beignets, rien de plus simple, il faut faire une pâte à frire, on trempe la grappe de fleur dedans, on fait frire et on mange.
Super simple, super bon.

Deuxième recette : la glace.
Super simple aussi, une fois le lait/crème fraiche bouilli, on fait infuser les fleurs dedans pendant 15 minutes, on filtre et on fini l’anglaise. Laisser refroidir, puis turbiner.
Done.
Rien de plus simple, et c’est très bon aussi.

Troisième recette : les cookies.
Super simple aussi a faire, quand on sable la pâte au début, il suffit d’ajouter les fleurs, préalablement effeuillées pour ne garder que les pétales, dans la pâte, et le tour est joué.
Très sympa aussi, ça donne un bon gout :)

On a congelé le reste des fleurs dans plusieurs petits sachet, ça se conserve nickel, et ça se décongèle en 2 minutes à l’air libre.
On pourra s’en servir pour noël par exemple, ça pourra être sympa en plein hiver d’avoir des fleurs à manger ;)

Je me suis inscrit à l’opération Vélo de CourseS organisé par l’agence éco-mobilité de Chambéry.
Cette opération permet de faire découvrir qu’on peut faire ses courses autrement qu’en prenant sa voiture, et qu’on peut les faire à pieds. Heu, à vélo.

Coup de bol, j’ai été sélectionné.

En début de mois, on (avec Marlène, on est un con, mais avec Marlène, non.) est allé récupéré notre super caddie de grand-maman qu’on attache au vélo.
Le caddie ressemble à ça :

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Pour l’attacher au vélo, y’a un truc en plus à ajouter au caddie, et surtout, il faut ajouter un machin sur le truc du bidule.
Pour faire plus clair (ça l’était pourtant), il faut mettre un système d’accroche sur le vélo.
Il en existe deux modèles : le BigEasy, et le EasySnap.

Je vous laisse cliquer sur les liens et voir à quoi ça ressemble, j’ai la flemme de mettre d’autres photos, pis vous êtes grands hein.

Donc, au début, j’me suis dis : je vais mettre le EasySnap sur mon porte bagage, ça sera plus cool et plus intégré.
Bon, le problème, c’est que la plaque où doit venir se fixer le bordel sur mon porte-bagages n’a pas les trous en faces des yeux, donc, grâce à un subtil subterfuge (une plaque d’allu achetée à l’entrepôt du bricolage), je fixe le tout ensemble en faisant des trous de raccordement dans la plaque d’allu.
Je déporte le feu arrière, et le tour est joué !

Et hop, c’est partit pour un test grandeur nature, on part à vélo avec le caddie au cul, et là, je m’aperçoit que le machin valdingue dans tous les sens dès qu’il y a la moindre bosse.
Bon, ok, quand il sera rempli, ça devrait moins voler.
On va acheter des œufs (du coup), et d’autres trucs (genre des packs de lait)(pour faire du poids), et on revient.
J’arrive à la maison, et là : drame.
Le EasySnap n’est plus à l’horizontale, il fait un angle vers le bas assez prononcé. Je regarde un peu mieux, effectivement, la plaque qui est sur le porte-bagages est complètement pliée. Je la redresse et re-drame : la soudure lâche.

Quelques jours plus tard, je vire tout le merdier, et je refixe la plaque avec du scotch pour enlever les gens dans les séries américaines (c’est du solide).

Ce matin, je suis allé cherché le BigEasy, et je vais le monter ce soir, on verra ce que ça va donner, si ça tient ou pas.
Faut que je trouve un moyen pour éviter que ça me nique la peinture sur les haubans, vu qu’il manque des bouts de caoutchoucs…

Je ne sais pas de quelle catégorie vous appartenez, mais j’ai eu la chance de faire parti des deux.
J’ai donc pu bénéficier d’une large expertise en la matière.

Le col bleu, quand il va aux toilettes, il se lave d’abord les mains, puis va pisser, et retourne au travail.
Le col blanc, quand il va aux toilettes, il pisse, se lave ensuite les mains, puis retourne au travail.

Pourquoi ?

Parce que le col bleu à généralement les mains plus sale que sa bite. Le col blanc parce qu’il considère que sa bite est plus sale que ses mains.

Quand à moi, quand j’étais un col bleu, je me lavais les mains avant et après.
Avant, parce qu’effectivement j’avais les mains sales, et après, juste pour faire durer un peu plus le temps de pause pipi.

Maintenant que je suis un col blanc, je ne me lave plus les mains, ni avant, ni après. Tout simplement parce que ma bite est aussi propre que mes mains (voir plus), et que je sais pisser sans m’en foutre sur les doigts.

Dans la vie, il y a des moments où il faut rester dans sa file, ne pas en sortir au risque de créer un bordel monstre.

Non, je vais pas parler d’UMP, ni même de politique, mais plutôt de l’accident de voiture qui nous est arrivé il y a deux semaines sur la VRU de Chambéry.

On roulait tranquillement sur la file du milieu, la file de droite étant chargée et roulant moins vite que nous. On arrivait au niveau de la sortie 15 dans le sens Chambéry/Aix-les-bains, je fait une remarque à Marlène comme quoi ça ralentit devant, elle freine et comme ça, d’un coup, une voiture qui se trouvait à côté de nous viens nous faire un câlin.
Il n’y a pas eu de choc violent, Marlène a su rester sur sa file et ne pas aller se coller contre une autre voiture de la file de gauche, je vois le rétroviseur droit partir en morceau et d’un coup, je sens que le pneu droit est crevé.
Bon, j’me dis que la matinée commence bien, que ça va être chiant de changer la roue et tout ça, mais au moins, il ne pleut pas.

Le gars de l’autre voiture me fais signe qu’il va se garer plus loin, on le suit, et on se gare derrière lui.
Marlène lui dit « Ben alors ? On change pas de file comme ça sans regarder », et l’autre lui répond « Ben, ça freinait, et plutôt que de me faire rentrer dedans par derrière et vu que je prenais cette sortie, j’ai changé de file. »
Logique imparable : j’ai pas envie de me faire rentrer dedans, et vu que je tourne à droite, je tourne à gauche sans regarder.

Bon, le gars a pas été chiant, on avait un constat dans la voiture, on l’a remplis, on a fait un joli petit dessin, et pendant ce temps là, j’ai changé la roue.
Quand elle a été remontée, on s’est aperçu que la roue touchait le bas de caisse. Et là, on s’est dit : pas bon. Effectivement, en reprenant la voiture, je me suis vite rendu compte que la direction avait été touchée et qu’il y avait un gros soucis. Donc direction notre garage habituel qui n’était pas loin du tout.

Je vous épargne, l’arrivée au garage, et la tête du garagiste quand il a vu la roue.
Bref, un collègue nous a ensuite déposé à l’assurance, on a montré le constat : c’est clair, c’est 100% de la faute de l’autre conducteur, pas de soucis de ce côté là. La chance nous sourit une fois de plus, le garage juste à côté de là où on a posé notre voiture est affilié à l’assurance, donc on aura rien à débourser.

L’expert passe, il dit qu’il y en aura pour à peu près 2000€ de réparation, mais que la carte grise va être bloquée en préfecture, et qu’un contrôle technique sera fait une fois les réparations effectuées pour vérifier qu’il n’y a pas d’éléments de sécurité qui ont été touchés. La carte grise sera débloqué une fois le contrôle technique passé.
Par contre, il nous dit que le garage ne pourra pas prendre en charge la voiture avant 2 semaines, mais qu’on peut la faire changer de garage.
Dont acte. On change de garage.

Et maintenant, ben on attends, y’en a pour a peu près 3 semaines de réparations, entre les réparations effectives, le contrôle technique et le suivi par l’expert.
Donc on attends et on a plus de voiture, on aura peut être une voiture de courtoisie début décembre…

A suivre.

Depuis qu’on a emménagé dans notre appart, de temps en temps, on a le 300mA qui saute. Impossible de savoir pourquoi, il n’y a pas de raison apparente.
Des fois, ça tient pendant des mois, des fois ça saute deux fois dans la semaine, et ce généralement quand on est pas là, et non, c’est pas non plus lié à une activité électrique haute, genre le lave vaisselle + la machine a laver + le four. Je dirais qu’on a fait le test de lancer les 3 en même temps et ça tient.

Donc du coup, ben je débugue.

J’ai commencé par regarder mon tableau électrique, et j’ai pris le disjoncteur le plus gros (32A) qui est celui du four/plaques vitro céramique et dès qu’on ne s’en sert plus, hop, je disjoncte.
On a commencé en aout, et jusqu’à aujourd’hui, ça n’avait pas sauté. On commençait à se dire que c’était gagné.

Mais non. Ce matin, plus de jus, le 300mA a lâché.

On va donc passer au disjoncteur suivant et attendre…

Je sais pas si vous connaissez les barCamp, d’après wikipedia c’est une rencontre, une non-conférence (en) ouverte qui prend la forme d’ateliers-événements participatifs où le contenu est fourni par les participants qui doivent tous, à un titre ou à un autre, apporter quelque chose au Barcamp.
Le vinoCamp, c’est pareil, mais en associant le monde du vin. Donc on regroupe vignerons, négociants, etc… avec des personnes du monde du numérique et de la communication, on les met ensemble dans des ateliers et on discute de choses comme les vignerons sur les réseaux sociaux, la communication sur internet, etc…

Pour le déroulement, ça a commencé le vendredi soir au Wine Not, à Chambéry, pour le Champagne Day. Pas mal de Champenois étaient là et nous ont fait gouter leur production. Je retiens surtout le champagne Tarlant, qui poutre grave sa mère.
Samedi matin, direction la maison de la vigne et du vin à Apremont, et là, on attaque la grosse journée.
Petit mot d’introduction, puis tout le monde se présente avec 3 mots clés.
Sur un mur une grille représente les sessions d’ateliers ainsi que les salles disponible, il y a 3 salles et 3 sessions, il faut donc 9 ateliers.

Pour arriver à faire émerger 9 idées d’atelier, il faut du monde, on était une bonne grosse centaine, et il fallait bien ça.
Une fois la grille rempli, les sujets de la première session sont annoncés et chacun va rejoindre le groupe qui l’intéresse. La discussion est ouverte, tout le monde peut participer, mais là encore, sur des groupe de 30 personnes, seulement 3 ou 4 personnes participent activement, les autres écoutent.

Conclusion, pour faire en sorte qu’un barCamp fonctionne : il faut du monde.

Pour finir la journée, à partir de 17h30 : dégustation de vins. Savoie, Bordeaux, Champagnes, etc…
Là, c’était énorme, je crois que j’ai jamais gouté autant de vins de ma vie en une seule fois.
Mention spéciale pour le domaine Revelh qui font des vins naturels dans les Pyrénées orientales, les champagnes Janisson, et le domaine Dupraz qui a une mondeuse v2 qui envoie du gros.

Ah, et j’allais oublié, le midi, c’était mon pote Benoit de Savoie Saveurs qui faisait le buffet. Comme d’hab, c’était super bon !

Dimanche, on commence avec la visite du domaine de Méjane, dans la combe de Savoie. Visite du conservatoire des cépages. On aura tous bien retenus le cacaboué, un cépage que même les oiseaux n’en veulent pas.
Dégustation des vins du domaine, et on décolle pour Saint Pierre d’albigny où une nouvelle dégustation de vin nous attends avec un buffet.

Et là, les gars, j’ai gouté la meilleure mondeuse du monde. Certes elle est pas à 3€ la bouteille (40€ la 2009), mais je pense que je vais en prendre deux ou trois bouteilles…

Bon, ben voilà, merci encore à Grégoire, Vicky et Franck pour ce weekend de fou.
C’était top.

Le weekend dernier à Chambéry, c’était la grande (ker)messe de la BD.
Comme tous les ans, auteurs, dessinateurs, vendeurs, coloristes, éditeurs et j’en passe se sont réunis dans notre petite ville de Savoie pour rencontrer le public.

J’y suis allé parce que j’avais une entrée gratuite, n’étant pas très dans le monde de la BD, mais j’en lis un peu quand même, je voulais voir ce que c’était comme événement.

Ben les gars, j’ai été vraiment déçu.

Le concept c’est : tu paye, tu rentre, tu fais la queue pendant 1h devant le stand de ton auteur préféré avec ta BD sous le bras, il te fait une dédicace, et tu te barre. Tu peux aussi continuer et aller voir l’auteur suivant, mais je crois que le nombre de BD que tu peux importer est limité.
Mais il faut savoir aussi que certains auteurs ne dédicacent que les BD qui sont achetés dans la librairie centrale du festival. Ah oui ! La bonne idée !
Non, mais c’est vrai hein, je suis passé devant un stand, il y avait un gros panneau : « ne fais de dédicaces qu’au BD achetées à la librairie centrale du festival », et le mieux c’est que le gars n’était même pas à son stand. Je pense que le public a du le boycotter et il s’est tiré.

Bref, en gros, il n’y a rien à faire à ce festival mis à part payer pour pouvoir acheter des BD. Les rencontres avec les auteurs sont nulles, les expos ne sont absolument pas mises en valeur, et les auteurs font du travail à la chaine, digne des mangaka sous pression pour sortir leurs planches dans le prochain Jump.

J’ai du resté 1h au festival, et j’ai du bien passer la moitié de mon temps au stand des grapheurs medlakolor à discuter avec un des membre du collectif que je connais depuis que j’ai 3 ans…

Je comprend un peu mieux pourquoi tous les blogs de BD que je suis sur le net ne parlent jamais du festival de BD de Chambéry…

Les vacances, c’est pas encore pour tout de suite, alors quand on a vu qu’on avait posé le lundi et le mardi de congé pour faire le viaduc avec le 15 aout, on s’est dit qu’on allait partir en camping.

Le choix de la destination était crucial : pas trop loin, de préférence dans le sud, avec du soleil et de l’eau pour se baigner.
J’ai de suite pensé au lac de Ste Croix, dans les gorges du Verdon.

Jeudi soir, on prépare toutes les affaires, on met un max de trucs dans la voiture, et vendredi matin, on part au taf, avec la voiture chargée comme une mule.
Vendredi vers 10h du mat’ j’appelle le camping : complet.

Merde.

Loose.

J’appelle un second camping : complet aussi.
J’appelle tous les autres camping : tous complet.

Bon, c’est la grosse merde.

Marlène cherche un autre endroit, et elle me parle du lac de Serre-Ponçon.
Connais pas, mais c’est encore moins loin, proche de Gap, on appelle deux campings, ils ont de la place : go.

J’étais jamais allé à ce lac, et franchement, c’est un super coin. Très sauvage, beaucoup de plaques NL (comme partout en France apparemment), un soleil qui tape plutôt dur et qui fait croustiller la peau, un lac à l’eau froide, et un gars qui fait de la location de Stand Up Paddle (SUP pour les intimes).

Le camping est pas mal, un peu loin de tout, il faut faire 10km pour trouver le seul et unique distributeur automatique du coin. Ou alors faut aller à Gap.
Hormis ça, c’est nickel.

Programme des vacances :

  • 9h : debout, petit dèj
  • 10h30 : plage, farniente
  • 13h : retour à la tente, apéro, et bouffe
  • 15h : sieste
  • 17h : plage/piscine
  • 19h : apéro, bouffe
  • 22h : dodo

Des vacances sans surmenage :)

On a quand même fait un peu de sport, le mardi matin, rando de 2h30 en SUP sur le lac, super sympa, on a découvert la côte et les criques, c’est vraiment top.

On s’est aussi tapé un petit speed : plus de cartouche de gaz.
On va à l’intermarché qui est à 10km, ils ont pas les cartouches, on demande à l’accueil où est-ce que l’on pourrait trouver notre bonheur : « ah, ben ici, y’a rien, faut aller à Gap, à 20km ».
OK…
Bon, finalement, on est allé au décat de Gap, et après, on a passé l’aprèm à se balader dans les rues du centre de Gap, ça nous a permis de faire nos touristes.

Bref, de bonnes « pré-vacances », qui nous ont fait du bien et nous on permis de nous reposer et de bronzer !

Bon, aller, dans le prochain billet, je vous apprend qu’il faut lever les jambes quand on fait de la tyrolienne.

Bisous.

Ça y’est, on a dépassé les 500km avec les vélos (depuis qu’on a installé les compteurs).
500km, en deux mois, c’est pas énorme, mais bon, c’est toujours ça.
On a pris les vélos quasiment tous les jours pour aller au taf ce mois de juillet !

Ce week-end, j’ai nettoyé la chaine de vélo et je l’ai graissé, c’était pas du luxe vu comment elle couinait (la salope).

J’ai pu aussi valider le concept de la glacière sur le porte bagage, faut juste éviter les bouteilles de bières à l’envers. C’était un peu la piscine en arrivant :)